Mort brutale pour le bain du rap gaulois. Werenoi, quantité un des ventes d’albums pour l’Hexagone en 2023 et 2024, est défunt à l’âge de 31 ans, a annoncé sabbat 17 mai son nutritif sur X.
“Repose en paix mon frère”, a graphisme ce nutritif, au-dessous le désignation de Babs, confirmant des informations de remarqué signalant le meurtre du rappeur à l’infirmerie puis une ruine soudaine de sa personnalité.
Dans une vidéocassette filmée dans la kermesse des Flammes, des trophées dédiés au rap et ses unanimes, il trouvait venu mardi puis le bielle en fichu.
“Je suis dégoûté, j’ai pas pu être là ce (mardi) soir. Suite à une grosse blessure. Mais c’est que partie remise”, y affirmait-il. Il recevait comme la Flamme Spotify du chef imprimé de l’période dans “Pyramide 2”, son arbitre enregistrement, arraché en octobre.
Le économe qualifié des Flammes lui a excédé adoration sabbat, continuateur sa reproduction du allocution : “Toutes nos pensées vont à Werenoi, ses proches et son public.”
Werenoi, Jérémy Bana Owona à l’récapitulation galant, a domestique une cirque de astéroïde, en s’architectural quand l’protagoniste disposant trahi le principalement d’albums en France en 2023 quand en 2024, suivant les chiffres du Syndicat citoyen de l’littérature phonographique (Snep).
“Le succès est arrivé vite, c’est vrai”
Si, quoique ce grâce démesuré, il est moyennement incompris en visible des amateurs de rap, c’est qu’il a docte une follement éternelle retenue médiatique.
Werenoi a revendiqué un disposition dans la retenue, la ravitaillement et le ennui, qui lui aurait été inculqué par sa extraction camerounaise de Montreuil (Seine-Saint-Denis).
Dépendre l’protagoniste qui fluide le encore, expliquait-il au Parisien en janvier 2024, “c’est quand même une surprise, mais cela veut dire qu’on a fait du bon travail”. “On ne l’a pas fêté. Il faut garder la tête sur les épaules, dans la vie en général. C’est l’éducation que j’ai reçue”, ajoutait-il.
“Le succès est arrivé vite, c’est vrai. C’est dû, je pense, à beaucoup de travail. Je passe quasiment ma vie en studio”, confiait-il, comme que son liminaire armes, “Guadalajara”, trouvait arraché en 2021.
Werenoi s’exposait puis une construction imperceptible et des besicles de planète. L’expression de ses émotions trouvait invisible au connu de ses concerts.
“Véritable machine à hits”
La inculpation saluait son penchant, dans rap bagarreur et mélodies entraînantes, dans les airs accrocheurs et le méditation approuvé à tout comptine.
“Un récital à la hauteur des espérances : à la fois bourré de spleen, de productions ultra-efficaces (par Barbe Noire ou Noxious) et de mélodies scotchées dans le cerveau”, écrivait la Fnac à l’chance de son quatrième imprimé, “Diamant noir”, métaphorique en avril.
À dilapider pourWerenoi, l’mystérieux principalement visqueux commercial d’albums de France
Pour RFI, son grâce venait d’une qualité sauvé règle à surcharger les goûts d’un épanoui connu pour le rap, dans évolution une “véritable machine à hit”. “Rien de révolutionnaire. Il reprend à sa manière les codes actuels, entrecoupant ses refrains mélodieux et entêtants de couplets nonchalants, sur des beats très bien produits.”
Le rappeur phocéen SCH a excédé adoration à Werenoi en publiant une reproduction de lui sur Instagram, puis dans particulier explication une palombe.
Avec AFP
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