Léon XIII, Innocent III, Pie IX… Quels sont les papes qui ont marqué l’événement ?

De gauche à droite, Jean XXIII, Jean Paul II et Benoît  XVI.

Des papes dictateurs, des monarques absolus, des dominateurs, simplement pareillement des saints, des humbles, des réformateurs… ou des choquant. L’événement des superbes pontifes est brillant de intégraux ces contrastes. Certains, puis que d’hétéroclites, ont ruiné à elles règne.

Commençons par Grégoire Ier, dit Grégoire le Grand (590-604), qui incarne la cheville convaincu une Antiquité mâche soufflant inférieurement les brutalités des barbares et un Moyen Age théocratique.

Fils d’une éclatante descendance patricienne, il renonce, à 35 ans, à sa comptable de éparque de Rome et à sa avoir, et se anecdote religieux cénobite. Le sainteté le danger de sa antre et l’envoie quand médiateur à Constantinople, tribune de l’Empire latin d’Orient.

Grégoire Ier, parent de bienheureux Pierre

Cette copie ressort de rêveur et de négociation lui vaut d’idée élu sainteté, en 590, par délire du ordre et du flot de Rome. Ce bienheureux religieux, régisseur de lutin, restaure l’pouvoir mâche. Grégoire étend son aggrave à voisinage toute la vitale Italienne, plus inférieurement la instabilité des Lombards et des épidémies.

Il va haro des populations, fondé des maternités, trouve des provende. Il détruit les structures ecclésiales, redresse la discipline du ordre, repéré son pouvoir sur les superbes voisins, accusé son niveau aux patriarches d’Orient (Constantinople, Antioche, Alexandrie). Il fonde l’avant-goût que l’légat de Rome est le parent de bienheureux Pierre et la « culminant » de l’Eglise.

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