« Le 14 février 2017, au éventualité où le allopathe m’renseigné que j’ai le jointure cassé, je me dis : “enfin, c’est fini…” » En racontant ceci, Alice (le nom de baptême a été réformé) a des sanglots pendant la avis. Impossible envers la ramadan matrone d’manquer ces années de guérilla spirituel qui l’ont empêchée d’atteindre à un ensorcellement qui semblait toutefois entier tracé. L’rubrique retiendra qu’sézigue a document concurrence d’une cancer sacrifiée, la relève d’une quart de France qui aurait pu créature aux avant-postes du ski neigeux complet, toutefois laquelle on a modifié, entier ou en concurrence, la palissade.
En 2024, « lorsque d’une concours de Colosse aux pieds d’terre [une association qui lutte contre les violences dans le sport], j’ai toléré coeur que ce qu’on a réel endéans toutes ces années en quart de France, ce n’rencontrait nenni accessible. » Si Alice dit « on », c’est qu’sézigue n’a pas été la spéciale à ressentir du guérilla spirituel dessous le date d’Anthony Séchaud, patron des équipes de France féminine de ski neigeux de 2014 à 2018, au vu et su de sa fonction.
Ces années de déchirement intellectuel, Alice les a partagées en tenant ses sœurs de réale, spécialement Marie Massios et Estelle Alphand – la ménagère du godilleur Luc Alphand. Pour persister coalescent, ce trois de la cancer née dans 1992 et 1995 s’rencontrait mobilisé « le bloqué troupe ». Ces skieuses s’estiment victimes de non-sélections subjectifs, d’destitution, de observations sexistes et dégradantes répétées. Souvent, pour que d’contraires s’entraînaient, elles-mêmes présentaient chargées du toilettage des pistes. Certaines skieuses devaient, elles-mêmes, diminuer les impedimenta.
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