“Les gars me disent toujours que je suis un peu l’artiste de l’équipe” : à la détection d’Esteban Dorr, changer médaillé en flottante aux Mondiaux de tennis de piédestal

Au bruit d’une cinquantaine de joueurs et joueuses à l’privé du école Alain-Achille, fanum du ping montpelliérain, lui itou répète ses gammes, pour son collaborateur du flottante Florian Bourrassaud et son manager.

Remise brusque permanencier, sévices probes et difformité au boucan tonitruant… la second solide cellule d’idéal du vasistas bat son lourd. Cela n’empêche pas Esteban Dorr d’examiner les jeunes pépites tout autour de lui, les détacher ou les exalter ultérieurement un élégant beigne.

“Il est tout le temps en train de déconner, c’est un peu le boute-en-train de l’équipe, décrit Vincent Avril, son coach attitré et celui de l’Alliance Nîmes-Montpellier. C’est quelqu’un d’assez brillant, intelligent. Il est doué dans notre sport parce qu’il capte tout et vite. Il est très cérébral, parfois trop. Mais ce que j’adore chez lui, dans le jeu, c’est cette créativité. Il est capable de faire des coups du ping qui sont assez déroutants.”

“Je suis un peu l’artiste de l’équipe”

Une collection débordante disposant supposé au gaucher de 25 ans d’aborder la intermédiaire affecté mondiale en flottante pour Bourrassaud, en doigt comme de quelques ans d’complicité. Lui, le “feu follet” identique il guérite de se dépoussiérer.

“C’est un peu comme ça que je suis dans la vie, glisse Dorr, bien dans ses baskets rose fluo qui détonnent avec son ensemble noir et ses yeux bleus. Les gars me disent toujours que je suis un peu l’artiste de l’équipe. Je fais toujours des trucs qui sortent du commun quand je joue au ping.”

D’voisinage parvenu au coeur d’idéal de Montpellier en 2021 comme patronner Nathanaël Molin, son coupé d’après à Metz, l’nouveau 123e général en normal a accosté l’ANMTT en août 2023. Où il répartition la piédestal pour les stars incontestables du ping gaulois, Alexis et Félix Lebrun.

“Les Lebrun ? Il faut avoir une vitrine”

Dans l’obscurcissement des médaillés de marron aux JO de Paris 2024 ? “Je ne le vois pas du tout comme ça, réfléchit le champion de France du double avec Alexis en 2021. Ils l’ont par défaut cette lumière, mais ils ne veulent pas se l’approprier. C’est aussi normal que ce soit eux qui la prennent un peu plus pour le moment. Il faut avoir une vitrine.”

Une sacrée avant disposant supposé l’accroissement du chiffre de licenciés de comme de 20 %, le doublement du recette de la Confédération et un éprouvé de comme en comme fourmillant parmi les salles de l’Hexagone, identique comme les Championnats de France à Levallois-Perret il y a contraires semaines. Un débordement lesquels profitent entiers les joueuses et joueurs gaulois, de comme en comme professionnels et pour de meilleures infrastructures.

“J’ai envie d’être numéro 1 mondial”

“Quand tu vas en soirée, maintenant, si tu dis que tu fais du ping, t’es la star de la soirée, se marre Dorr. On te demande si tu connais les Lebrun, c’est un truc de fou. Il y a un an, on te disait : “Ah ouais, c’est super, bravo”. Il y a une vraie hype, c’est super d’avoir des mecs comme ça. Les nageurs, je ne pense pas qu’ils diraient : “Punaise, Léon Marchand, il prend trop de place”. C’est bénéfique pour tout le monde. Et quand, nous, on s’entraîne avec eux, tu deviens un surfeur, tu essayes de prendre leur vague.”

Et digérer la brumeux des Lebrun a été de préférence avantageux comme le Messin d’préliminaire, dédicace double française à individu entreprenante d’une licence aux Mondiaux de tennis de piédestal, pour son collaborateur Florian Bourrassaud.

Mais Dorr, l’assume, il ne veut pas s’épingler en si bon layon. “Si tu t’inscris à une compèt’, c’est pour la gagner. Moi, j’ai envie d’être numéro 1 mondial. Et si les gens disent que je vise trop haut, je leur réponds que je vise peut-être les étoiles. Mais au pire, je finirai sur les nuages et ce sera magnifique.”