“L’expérience ne s’achète pas”, les jeunes Montpelliérains vont se éprouver front aux champions de France

Deux semaines ultérieurement son final dispute en Division 1, Montpellier retrouve les parquets en entrée pendant le virtuose du disposition, leader de France en armes, Laval. Un sacré exagération.

L’régenter du MMF Mohamed Nezloui espère que son pourvu n’a pas mobile le mesure de la conflit : “Jouer tous les 15 jours, ça m’embête un peu, j’aurais préféré enchaîner. Mais cela m’arrange aussi pour mieux gérer les joueurs blessés. Le mois d’avril était le seul à deux matchs. En mai, nous avons quatre rencontres au programme.”

Les quatre dernières d’une de saison femme où les Montpelliérains, troisièmes, ambitionnent une savoir-faire connu en demi-finale du compétition.

Ils restent sur une agacement, la perte à cheminée front au relégable Kingersheim : “Il y a eu une réelle remise en question des joueurs sur l’aspect individuel pour faire évoluer le collectif, explique Mohamed Nezlioui. Je pense toujours que ce genre de prestation fait partie du processus, nous sommes l’équipe la plus jeune, nouvelle en D1 avec des joueurs qui n’ont jamais joué à ce niveau-là. C’est normal que l’état d’esprit change parfois un peu. Je leur dis toujours : si je suis content aujourd’hui, je vais pleurer demain. Quand les joueurs sont satisfaits, ils arrêtent de travailler, c’est instinctif. L’expérience ne s’achète pas, elle doit s’acquérir sur le terrain.”

“À Laval pour gagner” et hormis contrainte

Samedi (16h30), le MMF coïncidence front à un noble exagération : plaire de tanguer l’Etoile Lavalloise et ses mondiaux. Sans contrainte. “On a trois points d’avance sur nos deux poursuivants. Peu importe ce qu’il va se passer à Laval, on sera encore troisième. Après il reste trois matchs à notre portée (contre Paris Acasa, à Avion et contre Kremlin-Bicêtre). On travaille pour faire trois gros matchs même si on va à Laval pour gagner”, conclut le ingénieur montpelliérain.