“M’amuser, m’occuper de ma famille, travailler, voyager” : un sextuple virtuose olympique mort d’un tubérosité insoignable

L’révolu cycliste anglo-saxon Chris Hoy, sextuple virtuose olympique, qui avait annoncé essence approché d’un tubérosité insoignable l’an inédit, a donné de ses nouvelles, indiquant que son bilan incarnait sédentaire et qu’il appréciait “la vie plus que jamais”. “Je vais bien. J’ai l’impression d’être entré dans une phase de stabilité en ce moment et je me sens bien, je fais de l’exercice, du vélo, je m’occupe. Le plus important, c’est que le cancer n’est pas la première chose à laquelle je pense le matin en me réveillant et la dernière chose à laquelle je pense le soir en me couchant”, a précis l’Écossais de 49 ans mardi à la bracelet Sky Sports.

Le sextuple virtuose olympique et virtuose du monde à 11 reprises avait éprouvé en octobre que le tubérosité laquelle il souffrait incarnait insoignable, et qu’il lui restait parmi une paire de et quatre ans à provision continuateur les médecins. Il a documenté son conte dans lequel un vendu action “My Toughest Race Yet” (“Ma course la plus difficile à ce jour”, en hexagonal).

Traitement stabilisé

Chris Hoy avait éclairé à l’règne protéger un appointements, particulièrement une chimiothérapie. “Je pense que nous avons pris un rythme qui fait partie de notre vie et que nous gérons tout cela et continuons à avancer. J’ai l’impression d’avoir vécu l’une des périodes les plus chargées de ma vie, ces derniers mois, à tout faire : m’amuser, m’occuper de ma famille, travailler, voyager”, a précis le Britannique, laquelle la dame Sarra est horion d’une exercé accrocheuse de paralysie en placards.

“Je suis constamment sous médicaments, sous traitement, mais cela n’interfère pas trop avec ma vie et le plus important, c’est que ça marche, donc en ce moment je suis stable et tout va bien. Et je veux battre le fer tant qu’il est encore chaud”. Chris Hoy, qui avait attaqué sa repaire sportive en 2013, a aussi accéléré “apprécier (la vie) plus que jamais”. “Il ne s’agit pas seulement […] de faire des choses énormes, il s’agit d’apprécier le plaisir quotidien et banal de la vie”.