Le vendredi 16 mai s’est déroulé le circulation de dune du Syndicat Sud Santé Sociaux et ses représentants antérieurement le Centre départemental de l’provenance et de la dynastie (CDEF). Le but : libérer les opportunité de enfantement et de acheté en choc des anges. Le réunion départemental indique de son côté qu’il n’a “de cesse d’alerter le gouvernement” et a débloqué une bogue étonnante.
Baisse des fortune, danger, fourbure… C’est le intime continuateur les travailleurs du CDEF (Centre départemental de l’provenance et de la dynastie) de Toulouse. Mobilisés antérieurement l’entreprise ce 16 mai, comme le Syndicat Sud Santé Sociaux et d’différentes acteurs du endroit, ils ont vendu “les défaillances” et “manquements de l’aide sociale à l’enfance”.
Malgré la assistance de 400 agents, il rebut effilé d’arguer un permanent qualitatif derrière les anges et familles prises en choc au CDEF de Toulouse, qui sont vigoureusement nombreuses. “Tous les services ont été mutualisés, ce qui crée des situations d’insuffisances. Je me retrouve souvent seule à devoir gérer 15 familles”, confie une usée du coeur domestique.
Une opportunité de suractivité que le réunion départemental de la Haute-Garonne ne nie pas. Avant de battre qu’il “n’a de cesse d’alerter le Gouvernement sur les besoins de la protection de l’enfance”.
“Les problématiques en Haute-Garonne sont les mêmes que dans l’ensemble des départements de France : un CDEF en suractivité car dans l’obligation de prendre en charge des enfants qui devraient en réalité relever d’une prise en charge médico-sociale et qui ne relèvent pas seulement du Département. Depuis des mois, le Département interpelle, mais reste sans solution comme l’ensemble des départements. Pire, le Gouvernement réduit les financements et se désengage, laissant les Départements gérer seuls la protection de l’enfance”, rappelle le réunion départemental.
Une opportunité qui accentuerait les cas de attaque continuateur les manifestants. “Nous demandons des dispositifs de sécurité. Je me suis déjà retrouvée en situation de détresse face à un enfant, on ne peut plus accepter de se faire mordre, tirer les cheveux, bousculer”, ajoute Laetitia, soignante du bout esprit.
Palier l’pollution
“Certains enfants dorment sur des matelas, faute de place, martèle Lisa, membre de l’équipe d’urgence. Quant aux bébés dans les pouponnières, ils sont pour la plupart surveillés par des caméras défectueuses.” Selon le Syndicat Sud Santé Sociaux il y aurait des trous pour les murs, des volets cassés, des fenêtres qui ne se champignon mieux.
Chaque période, “plusieurs centaines de milliers d’euros sont consacrées à la rénovation et à l’adaptation des bâtiments (300 000 € en 2024)”, formelle la corporation, monsieur d’grossir qu’elle-même a assigné au CDEF un comptabilité “en constante augmentation : 18,4 millions d’euros en 2020, 27,6 millions d’euros en 2024.” Au terminé, 257 millions d’euros ont été mobilisés en 2025 derrière la cotte à l’provenance par la Haute-Garonne, quelque 131 millions d’euros en 2015.
La semaine prochaine, “le Département accueillera la mission d’information sur la santé mentale des mineurs de l’Assemblée nationale dans la continuité de l’audition à l’assemblée de la mission Santiago pour laquelle la Haute Garonne s’était portée volontaire”.
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