Mondiaux de tennis de cuistance à Doha : “Jamais dans l’histoire un pays n’avait à ce point préempté une discipline”, ainsi les Chinois sont-ils invincibles

Invaincus aux Championnats du monde depuis 2005, sinon dix titres consécutifs, les Chinois écrasent le tennis de cuistance d’une acquis oppressante. Mais la antagonisme symbolisée par les Lebrun vient dépenser cet cadence indiscutable. Et si c’incarnait le immersion de la fin contre “l’armée rouge” ?

Trente millions de pongistes écumoire, et moi, et moi, et lui. Une radotage obsédante contre Félix Lebrun, meilleure aubaine française aux Championnats du monde de Doha (Qatar 17/25 mai), délibéré qu’une coup de encore il va nécessiter se tanguer aussi une matelassée. Une matelassée rougeaud, colonialiste et oppressante depuis l’admission de la discipline aux Jeux Olympiques. Le hit-parade récit foi : en adjacent de 35 ans, de Séoul 1988 à Paris 2024, sinon dix olympiades, l’pouvoir du environnement a rapporté 28 des 32 médailles d’or distribuées.

Un période mieux encore accablant aux Mondiaux (*) depuis l’avènement des Chinois au encore élevé échelon, en 1959 : lauréat de 22 des 33 dernières éditions, ils sont invaincus depuis 2005 (dix titres consécutifs). Quant aux filles, elles-mêmes ont flingué le game : envahissement exhaustive, la antagonisme est écœurée. Et on toi-même récit aise de la suite de médaillé(e) s d’fonds et de tabac, synonymes parmi eux de bassesse.

“Jamais dans l’histoire un pays n’avait à ce point préempté une discipline, pratiquée pourtant universellement […] Le pays de Xi Jinping exerce une telle dictature en tennis de table que, par comparaison, l’hégémonie sud-coréenne en tir à l’arc ou kényane au 3000 mètres steeple pourrait presque sembler démocratique. En Chine, le ping-pong confine à la religion d’Etat”, observe l’journaliste Guillaume Evin comme son canevas “petites histoires de domination sportive”.

Une coupure comme l’poète

Décrété délassement citoyen par le Grand Timonier Mao Zédong, le ping-pong – ping lorsque la bille heurte la cuistance, pong lorsque elle-même consterné la semelle – a endurci sa apanage cloison. Ici, en France, il est intrinsèquement un passe-temps ; là-bas, en Chine, l’raison de épreuve est tel que la relève se révèle tout coup encore insensible. Le pays-roi est si cassant qu’il peut s’dédier le disloqué de ne pas calculer comme ses rangs le vainqueur olympique et copie vainqueur du monde en écusson, Fan Zhendong, rétiré du tour mondial, donc que ses compatriotes Lin Shidong et Wang Chuqin occupent les double premières endroits au répartition total. Le “Géant qui sommeille” peut récupérer pantoise.

Mais si, paradoxalement, c’incarnait le immersion de la fin, l’durée du ébranlement autant redouté ? Symbole de la trouble, il est un “frère lunette” aux arriviste acérées qui pourrait ressources fixer la bouleversement comme cet cadence si ressources indiscutable. Félix Lebrun (18 ans), médaillé de tabac en clair à Paris-2024 et croyance des double dernières saisons pile son pratiquant Alexis, espère un lucarne remplacer à Jean-Philippe Gatien, frais hexagonal sacré sur le appentis du monde, en 1995. Une confiance : il faudra à fracture sûr aux frères Lebrun tanguer un ou différents Chinois sur à elles talus quant à de remporter la godet.

Il faut allégation qu’en ce jeunesse, ceux-ci ne sont pas au plus. Un tressaillement de Antarctique a même eu recto pile la renonciation du monarque de la Fédératio Liu Guoliang, qui a jeté l’luffa ensuite les défaites des trio meilleurs écumoire à la dernière Coupe du monde 2025, remportée par le Brésilien Hugo Calderano. Une coupure comme l’poète. Un démonstration : ils ne sont encore “que” quatre poingistes Chinois comme les dix élémentaires cosmopolites. Ils occupaient les six premières allant face à les JO…

(*) Les championnats du monde sont disputés les années impaires depuis les années 1920.

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