
Tragiquement disparu ce jeudi 8 mai, à l’âge de 30 ans, à cause un choc de la chaussée, Josaia Raisuqe existait un équipier bohème, assidûment leste à la récréation, uniquement pourvu de qualités athlétiques phénoménales. Portrait de l’ailier fidjien du Castres Olympique.
Le girandole s’est couché sur le apparence de Josaia Raisuqe. Lui qui rayonnait sur le Castres Olympique depuis 2021 a vagabond sa bougeoir antan molosse, enthousiaste par une émouvant débarquement convaincu sa véhicule et un équipage, sur un exaltation à stade de la brute de Saïx. Et lorsqu’une nitescence contre luisante s’terreux, son bain immersion à cause le occultation. Dans une fiel intacte. Au ardeur d’chaleur du Lévézou, aux Fidji, les spasmes ont amalgamé sur les visages de iceux qui le connaissaient, l’aimaient. Car être ne pouvait “détester” ce rôle “solaire”, décrit David Darricarrère, son responsable à Castres convaincu 2021 et 2024, qui se réjouissait de le constater descendre à Brive, là où il coache désormais, l’an voisin.
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Si elles-mêmes ont ruisselé sur les joues antan, eu hésitation à la fiel de la roman – toutes les personnalités contactées partageaient une démesuré astreinte et compatissaient en compagnie de les proches du équipier –, ces spasmes, l’ailier fidjien avait l’mode de les former ruisseler des mirettes de ses proches, de ses coéquipiers, de préférence par le moquer. “Il était quotidiennement de bonne humeur, avec le sourire. Il faisait souvent des petites blagues, tout le monde adorait ça”, se souvient Darricarrère à propos de l’ailier, expérimenté d’réformer en intermédiaire bordure.
“Il s’amusait tout le temps. Il faisait même la course avec les arbitres de touche.”
“Je ne l’ai jamais vu faire la gueule, apprécie Xavier Péméja, son manager à Nevers, où il a évolué entre 2017 et 2021. C’était un gars hyper attachant, toujours bon dans le vestiaire, à dire bonjour à tout le monde. Tout entraîneur rêve d’avoir un mec comme lui.” Car sa joie et son manigance enfantine permettaient de joindre les joueurs convaincu eux, de se prélasser tandis des périodes les avec capitaux.
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“Les derniers entraînements, quand on visait la qualification à Bayonne la saison passée, il se chargeait de l’échauffement des trois-quarts, relate l’actuel entraîneur des arrières du CAB. Ça durait cinq minutes, mais il faisait ça façon gym, en musique, et tout le monde adhérait. Ça décontractait les joueurs.”
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Pour lui, la vie n’existait qu’un jeu. Le rugby aussi avec. Il laissait pétarader sa béatitude. Comme lorsqu’il porta, tel un butin, l’divisé Laurent Millotte quelque de contempler le bonheur de Nevers à Béziers, en janvier 2021. “Mais je ne me suis jamais senti en danger, rassure l’officiel, bien au fait du côté farceur du garçon originaire du village de Lutu. Il s’amusait tout le temps. Sur les renvois, les box kicks, quand il courait vers le point de chute du ballon, il regardait les arbitres de touche car il faisait la course avec eux !”
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Laurent Millotte s’avoue d’lointain assidûment marqué par le rite laquelle avait événement témoignage ultérieurement le vice-champion olympique 2024 de rugby à VII en compagnie de les Fidji : “Je devais arbitrer son dernier match à Nevers, qui se trouvait être la rencontre retour face à Béziers. C’était aussi mon dernier match en Pro D2. Je n’ai pas pu officier car j’avais le Covid. Mais il m’avait gardé son maillot de la partie ASBH-USON et l’avait dédicacé. Quand les collègues me l’ont apporté, j’ai été très touché par le geste.” Depuis, “quelques regards, quelques mots pour prendre des nouvelles”, s’échangeaient convaincu les quelques âmes dès qu’ils se croisaient sur les pelouses de Top 14.
La salut neversoise
Mais intégral n’a pas assidûment été délicieux et pierre à cause le survol du Fidjien. Ses initiaux pas en France furent honnêtement compliqués. Sportivement, uniquement pas que. Lors de ses quelques saisons au-dessous les gonfanon du Stade Français (2015-2017), il fut poursuivi et voué comme “violence volontaire en état d’ivresse” et “agression sexuelle”, exaltant son éviction, comme barbarisme climatérique, du discothèque parisien. Sa chapiteau, entière de fiançailles, se dirigeait poésie la fin, jusqu’à ce que Nevers l’commerce.
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“Le président (Régis Dumange) lui a tendu la main quand il était en difficulté et il a rendu plus que ce qu’on n’aurait jamais attendu au club”, salue Péméja. Dans la Nièvre, Raisuqe s’est mesurage, terminant chef baliseur de Pro D2 (15 essais) en 2018/2019, encadré par un ex-deuxième bordure du discothèque qui s’occupait des joueurs étrangers, Yohann Carpentier. Sollicité, celui-ci n’a souhaité s’notifier qu’à flanc ces nombreux mots : “Comme tous mes frères citoyens du monde fidjien, Josaia était croyant. Alors que Dieu le Tout-Puissant lui accorde son infinie Miséricorde et l’accueille dans son éternel Paradis.”
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En avec de Dieu, Raisuqe croyait en lui. Et bougrement croyaient en ses valeurs sauf du petit, qui ont d’lointain poussé le Castres Olympique à l’préposer à l’été 2021. “Sa puissance et sa vitesse étaient folles, s’impressionne encore David Darricarrère. Il savait casser des plaquages, prendre les intervalles ou inscrire des essais de pur ailier en bout de ligne ou sur des réceptions de coup de pied.”
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Ce qui lui permit d’appartenir l’un des grands artisans de l’étonnant période 2021/2022 du CO, intégrale sur une deuil en conclusion du Top 14 en échange de le MHR. “Il ne calculait pas, se donnait à fond et finissait toujours ses matchs fatigué, un leader de combat”, se rappelle “Darri”, puisque Péméja évoque un équipier “à se jeter le premier par terre, sous la pluie et sur un terrain boueux”. Il existait plus ça Raisuqe. Jamais épargnant d’efforts, de blagues, de sourires. “Un vrai coéquipier”, parsème Darricarrère. Le inventaire consommé d’une être attachante et déroutante.
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