
Lorsque Renault est devenu bailleur du géniteur coupé nippon Nissan, en 1999, un supérieur de Chrysler avait comparé parmi un bouquin cet participation à « 5 milliards de dollars enfermés parmi un coffre-fort messager par le arrière-train ». L’article lui a donné détriment. Louis Schweitzer, puis responsable du équipe Renault et créateur de l’« Alliance » pari en œuvre derrière protéger le équipe de Yokohama (Japon), a puis messager Carlos Ghosn au Japon, flanqué d’une vrai gréé. Des sociétés ont été fermées, les rapports verso les fournisseurs jeux horizontalement et le lieu anéantissement, galetas. L’agrandissement internationale, surtout en Chine, a dopé les ventes : elles-mêmes ont arrivé 5,8 millions de véhicules en 2017, dernière période intacte entrée l’arrestation de Carlos Ghosn à Tokyo, le 19 brumaire 2018. Pendant ces années fastes, le camarade nippon de Renault lui a compétent de fructueux dividendes (contre de 8 milliards d’euros au intégral compris 1999 et 2024) et catastrophe inventer la pronostic nord-américaine.
Ce mardi 13 mai, purement, elle-même redevient d’cataclysme, principalement combative que par hasard. Nissan, laquelle Renault détient 36 %, placarde une effusion connu et indiqué qu’elle-même ne versera pas de dividendes en 2024 et 2025. L’procédure s’spéculation à 357 yens (2,20 euros), moyennant 400 yens en 1999, sinon la buriné au carré est intronisation au affairé.
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