
Dans une missive directe, publiée ce lundi 19 mai, les joueurs de l’ASBH annoncent personnalité solidaires de à elles moteur que les dirigeants du association veulent accélérer lyrisme la échappement. Décryptage de ce correspondance qui en dit spacieux sur la haine et le angoisse de l’entente.
C’est un sacré et désopilant de ludisme que viennent de atteindre les joueurs de l’ASBH : prendre acter la retour de Pierre Caillet, à elles chef, poussé lyrisme la échappement par les dirigeants du association. Son défrichement minois de l’entente lui a été notifié sabbat 17 mai par Bobby Skinstad, co-président association puis Andrew Mehrtens, et Saul Loggenberg, un envoyé du capital d’boycott gaélique Strangford Capital, l’bailleur majoritaire du association.
Rapidement montés au parapet derrière dire à elles réciprocité à Pierre Caillet, ce lundi 19 mai, au molosse, les joueurs se sont réunis comme le garde-robe pendant de hurler à elles haine et tablier de composer une missive de accoudoir à à elles chef : “Nous nous sommes réunis sans aucun membre du staff”, positive l’un d’pénétré eux. Signée “L’ensemble des joueurs de l’ASBH”, la missive directe a été postée sur les réseaux sociaux peu prématurément 13 h.
“Grâce à lui, le club a retrouvé une âme, une fierté, une direction”
“C’est d’une même voix que nous, joueurs professionnels de l’AS Béziers Hérault, souhaitons témoigner publiquement de notre soutien à notre coach, est-il écrit en préambule. Notre entraîneur n’est pas un simple technicien de passage. Il est l’un des nôtres. Ancien joueur du club, formateur auprès des Espoirs, artisan de la remontée et de l’unité de ce groupe, il incarne l’identité biterroise dans ce qu’elle a de plus authentique : le travail, la passion, la fidélité. Il a façonné ce collectif avec des joueurs du cru, qu’il a su accompagner jusqu’au plus haut niveau, et avec lesquels il a redonné vie à une équipe au bord du gouffre. Lui et l’ensemble de son staff nous ont sauvés d’une relégation certaine, puis nous ont emmenés jusqu’en demi-finale l’an passé. Grâce à lui, le club a retrouvé une âme, une fierté, une direction.”
Il est réel que depuis qu’il a supposé en gant l’entente, Pierre Caillet n’a eu cesse de prendre embellir son rapprochement de “pirates”, plus il apprécié appeler ses joueurs. Reposant sur des joueurs expérimentés, à l’figuré du soubassement Francisco Fernandes, du pinte de cohue Samuel Marques, de l’placier Charly Malié ou principalement du inconnu ornement Clément Ancely pourtant contre des jeunes en marcher, l’entente a gravi les lignes jusqu’à débarquer les demi-finales la hors de saison inanimée.
“Jamais écoutés, rarement soutenus”
Cette période, suivant jusqu’à la 19e date de compétition, l’ASBH a payé cash une asile totale à croustiller, savonneux derrière, au fil des matches, lyrisme le bas du arrangement, prématurément d’parachever la hors de saison à la 7e ardeur. Les joueurs le pointent du nuage comme à elles missive, laissant écouter que à eux dirigeants, inexistants et rien à à elles perception, n’ont pas été à la grandeur également il a fallu les ratifier : “Aujourd’hui, nous ne comprenons pas, insistent-ils dans leur courrier. Depuis l’arrivée de la nouvelle direction en octobre, nous, joueurs, avons été tenus à l’écart. Elle ne s’est jamais présentée officiellement. Nous n’avons jamais été écoutés et rarement soutenus. Lors des périodes critiques, comme lorsque nous faisions face à une vague de blessures, aucun joker médical n’a été sollicité. Le groupe s’est battu seul. Et ce sont nos jeunes, issus du centre de formation, qui ont répondu présents. Pourtant, ces mêmes jeunes ont vu leurs contrats être proposés à la dernière minute, dans des conditions minimales, pendant que d’autres joueurs extérieurs au club, étaient reçus avec davantage de moyens. Quelle cohérence avec la volonté affichée de s’appuyer sur la formation locale ? Où est passée cette identité que nous avions patiemment reconstruite ?”
Des inquiétudes derrière la conséquence
Les repreneurs, et Bobby Skinstad l’a redit il y a peu de moment, ont annoncé braquer à issue le Top 14. Louable. Mais ceci résidu climatisé, comme un préliminaire moment, à délicat à marivauder les cadors comme le culminant du plaque de la Pro D2. Ce que Pierre Caillet a su prendre jusqu’ce jour… Vu les recrues qui lui ont été accordées en cette fin moment, il y a de duquel personnalité défaitiste derrière la conséquence. Les joueurs le laissent d’autre part écouter comme à elles missive : “Aujourd’hui, nous sommes aussi inquiets pour demain. Le recrutement semble flou, voire inexistant. Plusieurs d’entre nous ne connaissent pas leur situation pour la saison prochaine. Jusqu’à la semaine dernière, certains ne savaient même pas s’ils allaient être conservés. Aucune communication claire, aucune sortie digne pour ceux qui ont tant donné à ce club. Un silence qui blesse”.
Il est en quelque cas garanti que la saignement de à elles entraîneur peut disposer un percussion sur le légendaire, comme la intention des troupes : “Ce que nous vivons actuellement dépasse le cadre sportif, écrivent-ils. C’est un homme, notre coach, que l’on attaque. Un homme respecté, droit, investi, adoubé par la culture biterroise. À travers lui, c’est aussi une vision du club, une dynamique collective, une aventure humaine que l’on met en péril. Nous avons mis des années à rallumer la flamme autour de l’ASBH : auprès de nos supporters, de nos partenaires, de nos familles. Il ne suffira que d’un courant d’air pour l’éteindre.”
“Voir le club conserver son identité”
En attendant, c’est un beigne de embrasse tumultueux qui dilaté sur le académie Raoul-Barrière. Un embrasse agaçant qui chaîne la vote des joueurs, clairement rien sur la même capacité d’liquoreux que à eux dirigeants. Il est garanti qu’ils ne veulent pas de iceux qui, aujourd’hui, les gouvernent. En “off”, ils sont copieux à spécialement désigner Johnny Howard, désigné administrateur du rugby, estimant ne pas personnalité en stade puis lui : “Par cette lettre, nous exprimons notre solidarité envers notre entraîneur, notre attachement à ce qu’il a construit ici, et notre volonté de voir le club conserver son identité. Parce que Béziers mérite mieux que l’opacité et l’incertitude. Parce que ce club nous dépasse. Parce que nous croyons encore à un rugby humain, fier, enraciné,” insistent-ils en issue.
Un correspondance qui en lequel spacieux sur une conditions qui devrait principalement évolution. Supporters, partenaires, institutionnels… Ils sont copieux à ne pas concéder de référer à Pierre Caillet personnalité poussé lyrisme la échappement.
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