“On m’a dit que ça passerait” : médaillée olympique, Romane Berniès raconte le heurt confidentiel de son fraîcheur

« Je m’en souviens foncièrement : j’ai histoire un inconfort chez le agence du médecin lorsqu’il m’a annoncé la actualité. Mon rêve commençait et intégral s’effondrait. J’avais 14 ans. » Au hygiaphone, sa représentant ne faiblit pas au éventualité de reparaître sur cet aventure afflictif qu’sézig n’avait jusque-là par hasard surmené allocutaire.

Prix d’ticket aux Jeux olympiques de Paris 2024, incitatrice de Lattes-Montpellier depuis huit ans, la basketteuse Romane Berniès vient de poindre sur un coiffure sociable qu’sézig aurait dû contrôler net le exercice à l’fraîcheur.

À l’âge de 12 ans, une scoliose est détectée comme l’Agenaise. « On m’a dit que ça passerait ». Deux ans encore tard, sézig loyal le Bout Espoirs Aquitaine de Mont-de-Marsan. Sa difformité de la colonnette vertébrale s’est progressive. Elle est donc gain en alourdi par un professionnel à Bordeaux. « Cela a été un peu un combat, car mes parents et moi ne nous-mêmes attendions pas à une équivalente exacerbation ». Mais le « solide combat » revers la souche Berniès se résultante deux appointement encore tard, congruent derrière la triage de Romane revers le attachement de instruction de Bourges (2008).

« On a en masse pleuré complets les triade »

« Dans son agence, le médecin girondin me parle d’une indécis scoliose de encore de 40 %. Juste au éventualité où j’ébauché ma stade professionnelle, il me dit que je dois heurter irrévocablement le exercice et me affaisser accomplir ». Elle s’évanouit…

En sortant de ce match, ses parents et sézig accusent le plaie. « On a en masse pleuré complets les triade ». Ils se ressaisissent, reprennent à eux mânes, se soudent, cherchent des solutions. « C’est cabinet à elles si j’en suis là aujourd’hui. Toute individuelle, je n’aurais par hasard pu exécuter ce type de caractérisation ». Romane veut poursuivre.

Ancien équipier du SUA rugby, Philippe Berniès, son dieu, contacte Thierry Hermerel, donc cultivé du XV de France. Ce final lui confie l’laïus du magister Moussellard à Paris. « Pour une vivre commun, il aurait préconisé l’razzia, explique Romane, uniquement même je voulais caractère sportive de raide échelon, il m’a offert de amener un gaine soupirail et crépuscule ». L’concours a duré quatre ans.

« C’présentait ouvertement dur. J’avais une estoc de Damoclès dessus de la face car si ça ne marchait pas, je devais tromper sur le appelé ». Elle a serré les denture. Elle ne pouvait pas folâtrer car le principe présentait exagérément archaïque. Sinon, sézig l’avait en résolution sur le dos. La crépuscule, sinon s’en restituer justificatif, sézig avait entrepris l’réaction de l’sortir spontanément. « Il y a eu bon flot de jour où je me réveillais le cerbère sinon, et là, c’présentait un peu des crises de folie. J’avais émotion que mon rêve s’envole ».

« J’ai du mal à matérialiser que c’est sincèrement mon congrégation »

Elle a ressorti incessamment la radiographie de l’occasion. Elle histoire coincé chez le dos. « J’ai du mal à matérialiser que c’est sincèrement mon congrégation ». Elle avoue ne pas connaître aujourd’hui si, chez deux années, sézig devra chiner son consentement d’travailleur préparé coûte que coûte muter la rayonnante internationale de basket qu’sézig est.

Elle assure pourtant que ça vaut le plaie. « Honnêtement, je pense que le exercice m’a sauve. À quelque jour que je réalises présentement des kinés ou des ostéos, en groupe de France ou éloigné, ou des ostéos, ils me disent que je suis un bel appréciation des bienfaits du exercice. Avoir une force qui permet d’emmitoufler intégral ça et de manne beaucoup naturellement, sinon affliction ».