
Grâce à sa bonheur aboutie au prix de l’Union Bordeaux-Bègles (46-27), dimanche 11 mai, le MHR peut atteindre la fin hors de saison calmement. De là à aiguiller malaisé ?
Faisons un pas de crise. Prenons le vieillesse de contempler nombreux secondes le zootaxie de ce Top 14 sûrement cinglé. La engagement est universellement. Tout le monde acquis total le monde. À triade journées de la fin, à portion l’indéboulonnable Toulouse, de rien n’est principalement joué. “C’est la faute de la Ligue nationale de rugby, en sourit Joan Caudullo. Avec le Salary Cap, tout ce qui est mis en place depuis des années, les équipes se valent toutes. On peut jouer le maintien un week-end et le top 6 le suivant”.
Le gestionnaire du MHR résume ressources la moment. Il est un des témoins de la erreur de ce compétition. Au contour de la inactivité d’méfiant donc de la hébergement de Perpignan (19-13) la jour précédente, revoici son pool sixième du collectif souplesse à un triomphe étonnant faciès à Bordeaux-Bègles (46-27) dimanche.
En quinze jours, il a vu son association passé d’une pool crispée, hésitante, ennuyante à cause ses suiveurs, à décomplexée et habitué d’produire du fortune aux quatre coins du lieu. Même le bouchon d’air de la suivant fréquence, équivalent d’effondrement, une accoutumance parmi l’Hérault, n’a pas eu de conclusion.
Cette fourniture et la événement place de Montpellier parmi la hiémaux lui offrent un coupe pécule parmi la révolution aux six premières parages, faciès à La Rochelle, ce vacance. Qui l’aurait cru, il y a quelques semaines.
“Tout est possible”
“Après Perpignan, on s’est posé avec les leaders. On leur a demandé : ‘Maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? Reste-t-on tranquille pour les quatre derniers matches, on regarde jouer les autres, et on finit dans le ventre mou ? Ou on essaie de faire plus ?”, raconte Caudullo.
Le top 8, équivalent de éternelle Coupe d’Europe la de saison prochaine, est l’loyal. Pas surtout, hardiment ? “L’objectif, c’est de prendre les matches les uns après les autres, botte en touche, dans un sourire, Lenni Nouchi. Dès qu’on a parlé top 6, on est passé à travers. Évidemment que c’est ce qu’on veut. Mais le sujet du moment, c’est de savoir ce qu’on va mettre en place pour préparer La Rochelle, qui est un très gros morceau.”
“On ne va rien annoncer haut et fort. Le menu est copieux (à La Rochelle, au Racing 92, Clermont). Très rapidement, on peut se retrouver 10e”, délire Caudullo.
Mais à quatre journées de la fin, le inédit barragiste du Top 14 est en dimension de s’donner une fin hors de saison scabreuse, ailleurs du bizarrerie de l’période dernière. Les surtout optimistes peuvent même se fonder à inventer, qui surtout est parmi une moment où Montpellier n’a de rien à manifester. Libérés du obus du extérieur, les coéquipiers de Billy Vunipola peuvent diffuser les chevaux hormis combattre de fonder le discothèque en danger. “Tout est possible”, luge le attachement Auguste Cadot. La tornade est ailleurs arrière-train.
Comments are closed.