
Le collégial d’opposants au accumulation espère un examen sur l’manutention en institution des deniers publics sur ce début.
Ce ne sera une stupéfaction derrière subsister : le collégial Bancs Publics “ne regrettera pas” l’ex-maire François Commeinhes, châle le 30 avril à abandonner ses dettes. Les débutants reprochant au accolé, sur le arrière-plan puis sur la expérimenté, le début de dépôt assis Aristide-Briand (*).
Dans un acte, Bancs Publics n’entend pas alanguir son contraction derrière tant. “Notre lutte est contre ce système, qui arrive à imposer de façon illégale la poursuite d’un chantier suicidaire pour l’ensemble de la communauté de Sète et de l’Agglo”, imprimé le collégial, qui exige d’tant puis “l’arrêt des travaux, pour permettre d’établir un audit sur l’utilisation en cours des finances publiques sur ce chantier”.
Demande d’examen de la bouchée du épigone
“Cela devrait être la première tâche de l’élu qui remplacera M. Commeinhes à la direction de la SPLBT (maître d’ouvrage du chantier) aux côtés de Christophe Clair”, germe Bancs Publics. Le collégial affectionné que le débours juge (la Ville détient 53,37 % du argent de la SPLBT, NDLR) devra par cet examen, “permettre de lever l’opacité actuelle qui règne sur cette opération et sa mécanique infernale, qui consiste à demander toujours plus d’argent à la communauté pour un résultat incertain et surtout à haut risque environnemental et humain”.
L’appétence des opposants au accumulation est de mesurer le neuf précis du début, lequel le nouveau chiffrage culmine à 14,5 M€. “Il s’agira ensuite de comparer avec une autre possibilité, celle en laquelle nous croyons, qui serait alors de remblayer la place”, pense principalement Bancs Publics. Et de fonder en gardiennage les successeurs “qui voudraient poursuivre “l’œuvre”” de l’ex-maire et gouvernant d’Agglo…
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