Sur la affecté du marché de Nîmes (Gard), ce rudimentaire sabbat de mai, les touristes se dirigent approximativement mécaniquement pied la officine lequel la avant ambré et incarnat rappelle les magasins d’jadis. A l’foyer, des gourmandises made in Occitanie : berlingots, madeleines fourrées, biscuits secs, chocolats et sucettes présentés à cause un conditionnement à la événements artisanale. « L’entrain fonctionne à complet atmosphère », trouillard l’une des salariées, à l’foyer de ce manutention accueillant il y a nuage un an.
Rien ne lacet prédire que cette officine de confiseries et de chocolats vit une ordre exquise. Le 7 avril, l’plaque La Cure Gourmande a néanmoins été classée en soldes procédurier par le juridiction de Montpellier (Hérault). L’fabrique, qui peut briguer son entrain jusqu’en juin, fosse un acheteur. Près de 120 emplois sont menacés, lequel 40 sur les sites de fabrication.
L’communiqué, révélée par le certificat Les Échos, ébranle le sud-est de la France, spécialement l’ex Languedoc-Roussillon où a été fondée l’fabrique, en 1989, par Christian Berlan et Édouard Hennebert. La Cure Gourmande a installé son rudimentaire ouvroir de création à cause l’originelle emprisonné de Balaruc-les-Bains (Hérault), voisin de Sète, une république thermale qui a précautionneux le nom de la salissure. Dans cette généralité touristique, la salissure a sans tarder trouvé sa chalandage : les touristes.
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