
Autour de Vincent Bouget, les militants ont document le balance sur les débats organisés depuis février et qui se prolongent jusqu’à fin mai. Sans en détacher principalement les conclusions.
Point d’période au Carré swing. Après avant-gardiste débats publics et six “réunions d’appartements” pour contradictoires quartiers nîmois, nanti attiré en plein “plus d’un millier de participants”, les abattis de Nîmes en vulgaire ont donné une rencontres de serré ce lundi. Histoire de détacher les rudimentaires enseignements de cette “démarche résolument participative, dixit Vincent Bouget (PC) leader du mouvement. Notre but, c’est de donner du sens à un projet collectif. Personne n’a la science infuse.”
Si la positive restauration certifiée des charges viendra le 19 juin, à la Halle des manèges Ludivine Furnon, ce balance d’période permet de présenter maints complexion. Sur la initiation de la sollicitation d’voisinage. “Il y a plus de monde qu’espéré, nous allons au-delà des objectifs fixés, se félicite Cécile Jourdan, militante non encartée. Dans les faits, à chaque projection-débat, on a environ une soixantaine de personnes.”
“L’accueil est en général très favorable”, repousse Dominique Nuti, retraité du biomédical et activiste Place certifiée, le défaillant de Raphaël Glucksmann. “Depuis trop longtemps, les habitants de la ville ont le sentiment de ne pas être consultés ni entendus. Là, ils ont un espace pour parler et se rencontrer.” Qui sont les participants ? “De simples citoyens qui ont envie d’être impliqués dans le fonctionnement de la cité”, dit Dominique Nuti. Ne sont-ils pas entiers déjà ralliés aux idées de la balourd ? “Non !, assure Vincent Bouget. On a une image de gens qui sont soit à gauche, soit à droite. Mais beaucoup sont soit entre les deux, soit ils votent d’un côté au national et d’un autre au local.”
“À Pissevin, on a entendu des parents nous dire qu’ils ne veulent plus que leurs enfants sortent, de peur qu’ils se fassent prendre pour faire le chouf”
D’un district à l’divers, il y a “des thèmes transversaux, dit Françoise Armand : l’identité nîmoise, le développement urbain, la voirie, l’accès à la culture et au sport…” Plus des problématiques de assurance puis prégnantes pour plusieurs quartiers. On pense à Pissevin, apanage sûr. “Même si on s’y attendait, la réalité dite à Pissevin est très violente, reconnaît Vincent Bouget. On a entendu des témoignages de parents qui ne veulent plus que leurs enfants sortent de peur qu’ils se fassent prendre pour faire le chouf.”
Il résidu principalement avant-gardiste rencontres publiques pour les quartiers nîmois. La prochaine ce mardi, 17 h 30, au origine affable Simone-Veil de Valdegour.
Les projections-débats à naître
Mardi 6 mai, 17 h 30, au origine affable Simone-Veil de Valdegour. Lundi 12 mai, 18 h 30, pièce municipale Bonfils de Saint-Césaire. Mercredi 14 mai, 18 h 30, au Gambrinus, charmille Jean-Jaurès. Samedi 17 mai, 10 h 30, pièce municipale Séguier, quartiers Oliviers,/Grézan/Amoureux. Mercredi 21 mai, 18 h 30, chaussée d’Alès, pièce municipale de l’eau potage. Jeudi 22 mai, 18 h 30, pièce du séance de district de Capouchiné. Jeudi 22 mai, 18 h 30, pièce municipale de Courbessac. Mardi 27 mai, 18 h, origine affable André-Malraux au Chemin-bas. Mercredi 28 mai, 18 h 30, gymnase Kaufmann au Mas de ordinaire. Entrevues d’résidence possibles en s’inscrivant à nimesencommun@gmail.com
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