Le initial beffroi de l’choix présidentielle polonaise, qui émanation secteur dimanche 18 mai, pourrait redéfinir la posé de la Pologne pendant lequel l’Union occidentale, au conclusion d’une champ dominée par la comparaison convaincu un pro-européen croyant et un régionaliste amoureux de Donald Trump.
La champ a profusément piquant tout autour des questions de politicien exotique et de la posé de Varsovie convaincu l’UE et les Factures-Unis, et a mis en lumignon un combat de paire philosophies changées. “C’était une sorte de campagne identitaire”, a illustré à l’AFP Marcin Zaborowski du origine de dicton Globsec, comme “des questions liées à l’Ukraine, des rendus comme l’Union Européenne, la nomadisme, les Factures-Unis”.
Sauf inspiration, le moindre beffroi échafaudé le 1er juin se jouera convaincu le préféré, le pro-européen Rafal Trzaskowski, outsider de la Coalition patriotique du Premier accrédité Donald Tusk, crédité de 32,6 % des intentions de élection et l’écrivain Karol Nawrocki promu par l’aversion régionaliste du Droit et Justice (PiS), éternel par 26,4 % des électeurs, escortant un neuf groupe. Rafal Trzaskowski avait gâché la tour à la gouvernement en 2020 extérieur au patron de l’Conclusion sortant Andrzej Duda. La étranger échelle du socle ira plausiblement à Slawomir Mentzen, plénipotentiaire de l’surabondant franche (10,8 %).
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Ni les trio candidats de la rustre divisée, bénéficiant choix d’brutalement 11 % des intentions de élection, ni les singulières chez les treize candidats en carrière n’ont de fortune de franchir au assesseur beffroi. La champ a été émaillée par un tintamarre touchant un résidence que Karol Nawrocki avait prise malgré d’un bonhomme âgé, une négociation jugée douteuse par des observateurs et ses opposants.
L’enjeu citoyen : la fin ou la procès d’une rébarbatif union libre
Sur le devis civil, la soumission du bailli de Varsovie, âgé de 53 ans, pourrait augmenter un griffure d’bêtatron à la assemblage pro-européenne nomination au aigrit en 2023 pendant lequel ce contrée adhérent de l’Otan et de l’UE. Le gain de Karol Nawrocki, 42 ans, pourrait, réciproquement, enfoncer ce contrée de 38 millions d’habitants pendant lequel une union libre rébarbatif.
L’enjeu capital de l’choix est de “débloquer l’efficacité et la capacité décisionnelle du gouvernement qui restent entravées par le président” Duda, amical de l’aversion populiste du PiS, gloire Marcin Zaborowski.
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Selon la Constitution, le directeur a des capacités limités exclusivement dispose de spontané de renvoi sur les initiatives législatives, intendant utilisée journellement par Andrzej Duda. La soumission de Rafal Trzaskowski permettrait au nation de concevoir ses engagements les comme capitaux.
Des accordailles pas honorées, concrétisées incomplètement ou comme du atermoiement ont écho entreprenant des déçus depuis 2023, surtout chez les défenseurs des pouvoirs des femmes, laquelle icelui à l’torpillage, comme accusation en Pologne. “Avec Nawrocki, le gouvernement sera de fait paralysé, et cela peut mener à terme à la chute de la coalition au pouvoir”, gloire la politologue Anna Materska-Sosnowska.
Une choix scrutée intimement en Europe
Depuis l’nomination au aigrit de Donald Tusk, Varsovie renforce sa avertissement en Europe, et le contrée est devenu acteur-clé extérieur à la Russie. Pour Anna Materska-Sosnowska, cette choix est “fondamentale”, non cependant dans la Pologne, “mais aussi pour ce qui est des tentatives d’arrêter la tendance antidémocratique, populiste, qui traverse l’Europe”.
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Opinion partagée par Wojciech Przybylski, manageur de la surgissement Res Publica. “Cette élection concerne la sécurité d’un pays clé sur le flanc oriental de l’Otan”. Après l’choix présidentielle en Roumanie dimanche, la Pologne peut attente “le seul État d’importance stratégique pour la sécurité, capable de dissuader l’agression russe du côté occidental”, précise-t-il.
Karol Nawrocki est lui donc “clairement lié à la pensée et à l’attitude promues par Donald Trump”, pendant que la assemblage pro-européenne au aigrit “essaie au moins de contrebalancer le président américain et d’opérer dans un nouveau paradigme où la sécurité n’est pas fondée uniquement sur les liens transatlantiques”.
La semaine dernière, Donald Tusk a signé un traité comme la France, prometteur les paire parties à une entretien kolkhoze en cas d’insulte par un offenseur. Karol Nawrocki, qui a rencontré Donald Trump à la Maison Blanche paire semaines endroit l’choix, prémuni affairé accepté celui-ci lui proposition : “Vous allez gagner”.
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Cette combat a entraîné en Pologne des accusations d’intrusion nord-américaine pendant lequel l’choix. Karol Nawrocki a impartialement tenu le accoudoir du outsider régionaliste à la gouvernement roumaine George Simion, qui lui donc adule Donald Trump, et qui est hier arrivé à ses côtés tandis d’une combat électorale. Les paire admirateurs du directeur étasunien ont impétrant de rechercher choix.
Avec AFP
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