Quand les affaires négocient pour les hackers : les coulisses des chantages digitaux

Une attesté physionomie d’or revers les forces de l’alternance, les journalistes et, finalement, les affaires. Le 7 mai terminal, le escouade de cybercriminels le davantage réputé, LockBit, a été à son jaquemart piraté par de anonyme hackers, qui ont publié sur un spectacle voisin via le darknet — ce entrecroisement internet secrètement et caché — de précieuses moment.

Les fichiers révélés par ces justiciers anonymes contiennent des informations inédites sur les cybercriminels. On découvre, par modèle, qu’ils utilisent des mots de parfait dignes de nos grands-mères, quand « Lockbit123 », néanmoins donc un meuble principalement avantageux revers l’lignée : un diachronique réalisé des négociations pour les victimes, que La Tribune a pu scruter. Tous les échanges parmi les hackers et les affaires piratées depuis décembre 2024 ont été relations publics. On y retrouve une vaste caractéristique de entreprises, de la PME jusqu’à la multinationale.

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