
L’vieux débutant assistant veut éluder les “usines à gaz”, en même temps que des systèmes de louage continuellement défaillants.
Julien Plantier, postulant aux municipales 2026, réagit à la détermination de la hôtel de ville de Nîmes de déranger les menus de valise par des boîtes de raviolis avec les bambins des parents retardataires sur les réservations, “à une tablée différente et à un horaire différent des camarades de classe”.
“Je le dis sans détour et sans polémique, cette décision n’est pas la bonne, écrit-il dans un communiqué. Si je partage la volonté d’éviter le gaspillage alimentaire, si je suis parfaitement en adéquation avec le principe de responsabilité des familles, et si je défends le fait qu’un repas ne peut être gratuit, jamais un enfant ne doit être pénalisé ainsi. Que ce soit un simple oubli tout à fait légitime, que ce soit une volonté pour éviter délibérément de payer, ou que ce soit suite à un problème informatique empêchant les réservations, dans chaque école de Nîmes, chaque petit nîmois doit pouvoir manger un repas complet et équilibré ; que son repas ait été réservé ou non en amont.”
“Éviter les usines à gaz”
Et l’vieux débutant assistant d’durer sur le écho qu’il faut “éviter les usines à gaz dans lesquelles les parents passent plusieurs heures par mois à sélectionner l’enfant, le jour, le repas, l’horaire pour les accueils périscolaires etc. tout cela multiplié par le nombre d’enfants et par le nombre de mois de l’année”.
Ces derniers jours, de différents témoignages de parents font point de difficultés avec négliger la valise et les accueils priscolaires sur le ville de la localité de Nîmes.
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