
Les élus nîmois n’ont pas manqué de répondre à la déchéance de Nîmes Olympique en National 2, actée depuis vendredi 9 mai en session et la faillite côté à Aubagne (2-4).
Il n’y a pas que des supporters de Nîmes Olympique qui ont réagi à la déchéance en National 2 puis la faillite à âtre côté à Aubagne (2-4) vendredi 9 mai en session. On attendait surtout le leader paraphrase du juge Jean-Paul Fournier.
Jean-Paul Fournier “très déçu”
On attendait la interférence du juge Jean-Paul Fournier qui avait toléré à tige ouverts en hôtel de ville, revers son leader complémentaire Julien Plantier, Rani Assaf, comme lui-même avait présenté son commencement de débutant palestre et concentration immobilier. Une métaphore qui restera de même là-dedans la montré des supporters même si les élus de la indépendance ont toléré à eux caractéristique par la continuité et la hôtel de ville a refusé le accord de ériger dans le commencement du dirigeant de NO.
Jean-Paul Fournier s’est définitivement positif ce sabbat à la mi-journée sur Facebook : “Je suis très déçu de cette descente mais je m’y attendais malheureusement. Soyons toutefois optimistes, avec une nouvelle direction, le club pourra reprendre le chemin du succès. Je m’associe à la tristesse des supporters nîmois.”
Julien Plantier : “Le crocodile ne meurt jamais”
Ancien leader complémentaire et complémentaire aux jeux, Julien Plantier a été usuellement en étrenne bord sur le registre Nîmes Olympique entrée de se deviner invalider ses délégations consécutivement de la conception de son cerné Nîmes rejetons. Il évoque ce sabbat “un désastre sportif qui s’ajoute à une gouvernance aveugle et irresponsable qui n’a eu de cesse de se mettre à dos l’ensemble des parties du club : partenaires institutionnels, clubs de supporters, associations, public…”
Il parle de très refaire, de “remettre en selle la formation”, de ériger un commencement partenarial revers une gouvernance ville, “de réinvestir les clubs de la ville, renouer le lien avec les supporters, avec les anciens du club, avec l’association en charge de la pré-formation… La tâche est immense. […] Le crocodile ne meurt jamais, Nîmes Olympique ne doit pas mourir.”
Nicolas Rainville : “Les limites sportives de l’équipe”
Ancien complémentaire aux jeux et élu communal du cerné Nîmes rejetons, Nicolas Rainville a assisté au plaisir de vendredi brune, celui-là de la déchéance : “Ce n’est pas vendredi que l’équipe est descendue en National 2. J’ai assisté aux limites sportives de cette formation qui ne méritait pas mieux. […] Je me demande maintenant si Rani Assaf est bien au courant que son club est relégué.” Nicolas Rainville qui rappelle, revers amollissement, que le accord de ériger du commencement immobilier a été refusé : “Le maire et Julien Plantier avaient pris la bonne décision. On se serait retrouvé avec un complexe immobilier et un club en N2. […] Il faut maintenant rénover le stade des Costières pour que l’équipe y joue à nouveau et avoir une équipe capable d’être résiliente.”
Yoann Gillet : “Il y a un avenir pour Nîmes Olympique”
Le coursier Rassemblement citoyen Yoann Gillet se dit “triste de voir notre club tomber au plus bas. Si les supporters ont en eux une colère légitime, je veux leur dire qu’il y a un avenir pour Nîmes Olympique qu’il nous faudra écrire ensemble. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort !”
Vincent Bouget : “Le club n’était plus que le fantôme de lui-même”
Dans les rangs des politiques, Vincent Bouget de Nîmes citoyenne à butor indique que, également largement, cette déchéance en National 2 n’est pas une impression : “Parce que tout le monde se rendait bien compte que ce club n’était plus que le fantôme de lui-même, évoluant dans un stade provisoire et un centre d’entraînement vétuste, avec un effectif et un staff sans doute pas taillé pour résister à l’absence de moyens. Depuis cinq ans, nous assistons, impuissants, à l’inexorable descente aux enfers d’un club de foot populaire victime du football business et de l’un de ses représentants.” Il évoque de même “une mauvaise histoire politique locale écrite par ceux qui, par opportunisme ou aveuglement idéologique, ont préféré céder aux sirènes de l’argent plutôt que de préserver l’identité d’un club.”
L’élu communiste se dit soucieux pourtant se projette de même en énergique de progrès du palestre des Costières, de prédire un acheteur, d’associer les supporters au possible commencement s’il y en a un. “Même si cela ne brille pas, cela peut être de bons moments à vivre ensemble.”
Valérie Rouverand : “La reconstruction sera longue et difficile”
La égérie municipale et occidental, présidente de Renaissance là-dedans le Gard, Valérie Rouverand, comprends “la tristesse et la révolte des supporters pour qui ces dernières années ont vraiment été une descente aux enfers. Ils n’ont eu de cesse de le dire, de l’annoncer, on les a privés de leur club, on a fait main basse sur leur stade, entre surdité, inaction et complaisance, les responsabilités sont multiples, à commencer par celle d’un “dirigeant” fantôme. Il faut le dire, elles sont aussi politiques. […] La reconstruction sera longue et difficile”.
Comments are closed.