Rencontre dans Emmanuel Macron et le débutant directeur syrien Ahmad al-Chareh : de comment ont-ils verbal ?

Ce 7 mai 2025, Emmanuel Macron a décharge Ahmad al-Chareh, patron de la pacte mahométan au domination en Syrie depuis la bûche de Bachar al-Assad, à l’Paradis. Une mêlée qui a suscité une travailleuse débat en France. Le directeur tricolore doit réclamer des garanties sur la attaque pour les exactions et le confession des minorités, comme que cette inauguration habité d’un régisseur syrien post-Assad en Occident intervient là-dedans un entourage de tensions politiques et humanitaires.

L’édifiant

  • Emmanuel Macron a pardonné Ahmad al-Chareh, directeur syrien de liaison natif de la pacte mahométan, derrière sa inauguration habité en Occident depuis la bûche de Bachar al-Assad.

  • L’citation du régisseur, ex-rebelle mahométan, a suscité de vives décisifs de la carrée et de l’surabondant carrée françaises, dénonçant ses petit passés pour des centres jihadistes.

  • Paris programme des engagements clairs pour les exactions, derrière la haubert des minorités et la fin de l’liberté, en attache pour des malversation récents documentés sur le secteur.

  • La France veut parrainer la liaison syrienne sinon majorer derrière l’insistant les sanctions de l’ONU, auprès les pressions derrière lancer la rétablissement et clarifier la territoire.

Emmanuel Macron a pardonné mercredi à Paris le directeur syrien Ahmad al-Chareh derrière une inauguration habité controversée en Occident, et doit lui solliciter de taper les responsables d’“exactions” qui ternissent l’cliché de la pacte mahométan au domination depuis la bûche de Bachar al-Assad en décembre.

Première mêlée

Le régisseur de liaison de Syrie est accédé à l’Elysée où le directeur tricolore l’a salué d’une prise de mains là-dedans la préau d’élégance, en compagnie de la faction républicaine, précocement une bizarre meeting de cachet conjointe.

Auparavant, il a rencontré l’altruiste qui avait été à l’introduction de milliers de photos de groupe suppliciés là-dedans des groupes de pénitencier syriens inférieurement le gouvernement de Bachar al-Assad. Aujourd’hui installé en France, Farid al-Mazhan, différemment Souverain, avait témoigné avant une agio du Congrès étasunien, et ses photos ont judaïque une loi étasunienne adoptée en 2020 – la loi Souverain-, établissant des sanctions économiques pour le gouvernement syrien.

Emmanuel Macron est activement critiqué par la carrée et l’surabondant carrée françaises derrière l’citation faite à cet altruiste au passé jihadiste.

“Stupeur et consternation”, a réagi la tête du Rassemblement individu Marine Le Pen. “On ne reçoit pas des dirigeants qui sont d’anciens terroristes membres d’organisations qui veulent attaquer la France”, a identiquement affirmé le patron des députés Les Républicains Laurent Wauquiez.

“Pas de complaisance”

Des massacres qui ont aventure 1 700 morts, généralement alaouites, là-dedans l’ponant du région en germinal, de récents combats pour des druzes, et des blessures documentés par des ONG ont accéléré des doutes sur la habileté des nouvelles autorités à scruter maints combattants extrémistes qui à elles sont affiliés.

Plusieurs dizaines de amas des minorités religieuses syriennes ont d’lointain manifesté mercredi la agora de la Cité, à Paris, inférieurement le guidon syrien.

“Jolani dégage ! Dégage de France, dégage de Syrie !”, ont crié les manifestants issus des communautés alaouites, druzes, chrétiennes ou davantage sunnites, en utilisant l’ex-nom de hostilité d’Ahmad al-Chareh.

“Ce n’est pas parce qu’on a changé de tenue qu’on est devenu quelqu’un de fréquentable”, a jugé Issa Ali, directeur du Collectif franco-alaouite à l’introduction de la apparence.

Mais, en recevant le régisseur syrien, Emmanuel Macron espère soulager à parrainer là-dedans la obligeante arrivée la liaison environs “une Syrie libre, stable, souveraine et respectueuse de toutes les composantes de la société syrienne”, a dit l’Elysée.

La présidium française a balayé toute “naïveté”, assurant conclure “le passé” de maints dirigeants syriens et réclamer qu’il n’y ait “pas de complaisance” pour les “mouvements terroristes”.

Le patron de l’Etat demandera alors à son invité “de faire en sorte que la lutte contre l’impunité soit une réalité” et que “les responsables d’exactions contre les civils” soient “jugés”, a complémentaire son encadrement.

“Notre demande, c’est celle d’une protection de tous les civils, quelle que soit leur origine et quelle que soit leur religion”, a-t-on insisté.

Levée des sanctions

“Ne pas engager le dialogue avec ces autorités de transition”, “ce serait irresponsable vis-à-vis des Français et surtout ce serait tapis rouge pour Daech”, a de la sorte estimé mardi le patron de la adresse française Jean-Noël Barrot.

Selon lui, “la lutte contre le terrorisme, la maîtrise des flux migratoires, la maîtrise des trafics de drogue”, pour que “l’avenir du Liban” tangent, “tout cela se joue en Syrie”.

Depuis qu’lui-même a entamé le domination en décembre, la pacte mahométan yourte de conduire un face tranquillisant à la collège internationale qui l’exhorte à encenser les droits et barder les minorités.

En jeu, la élevée des sanctions imposées au domination de Bachar al-Assad, qui pèsent grossièrement sur l’économise du région, triste ultérieurement 14 années de hostilité empressée, pour, subséquent l’ONU, 90 % des Syriens agité inférieurement le perron de nécessité.

Le directeur al-Chareh, mûrement patron révolté du regroupé Hayat Tahrir al-Sham natif de l’ex-branche d’Al-Qaïda en Syrie, est ce dernier constamment juste par une élimination de migrer de l’ONU. Paris a dû solliciter une particularité malgré des Nations unies derrière agréer sa couronnement.

Comments are closed.