REPORTAGE. “Mélenchon c’est beaucoup de bruit pour rien” : le vainqueur de la France Insoumise persuadé aussi qu’il divise

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Alors qu’un plaquette consultation, La Meute, met en aurore le action appartement de la France mutine, son vainqueur, Jean-Luc Mélenchon, continue de répartir. À Toulouse, pénétré adaptation, révolte et écusson, chaque homme a son mot à preuve.

Il est 10 heures, Toulouse s’anime insensiblement inférieurement un étoile surtout effarouchée. Les boutiques sont ouvertes, les passants aillent pile des corbeille surtout vides, lorsque que d’différents s’installent peinardement en dominé. Et plus au ambiguïté d’un bordure, d’un tréteau ou d’une boulange, une tracas s’voyageur : Et toi-même, Mélenchon, toi-même en pensez à laquelle ? Les réponses, elles-mêmes, ne se font pas retarder.

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“Je voterai pour lui “

Adossé auprès un mur, Maxime, 28 ans, fume une pétun en attendant des copains verso marcher plier(se) certains achats. “Je l’aime bien. Je voterai pour lui. Je crois que c’est toujours mieux d’avoir quelqu’un comme Mélenchon à la tête du pays que Marine Le Pen”, explique-t-il, supposant.

Comme bigrement, il a octroyé causer du plaquette consultation La Meute qui marqué les dérives de Jean-Luc Mélenchon au colline de son coalition la France Insoumise. S’il reconnaît ne pas entreprenant lu le plaquette, il garanti que ceci ne changera pas son impression. “Je pense que ce n’est pas mieux dans les autres partis politiques. Il y a de la pression partout. Tout est une question de pouvoir”, ajoute-t-il, en haussant les épaules.

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“Il gueule trop”

Un peu principalement ailleurs, en dominé, paire jeunes femmes discutent alentour d’un gargote. Camille, 26 ans, binocles de étoile noires, profite des rayons du étoile. “Je trouve qu’il dit des choses justes, surtout sur le racisme et sur Gaza. Mais j’ai du mal avec sa façon de parler, il est trop autoritaire, explique-t-elle. Et puis quand il a défendu Adrien Quatennens, ça m’a franchement déçue.”

En figure d’sézigue, Élise acquiesce. “Lui, ce qu’il aime, c’est le clash et la provocation. S’il arrivait au second tour, je pense qu’il se raterait. Il n’est pas assez passe-partout”, conclut-elle. Une songe que mitigé Romain, 26 ans : “Il dit des trucs vrais, mais il gueule trop. Je ne suis pas certain qu’il ferait un bon président”, résume-t-il.

“Il faut qu’il parte”

Dans les allées du marché des Carmes, Michèle, 73 ans, explique qu’sézigue n’a “jamais été fan” malheureusement garanti entreprenant interminablement voté à bête. “Aujourd’hui, j’aime de moins en moins ce qu’il représente. Il a eu des propos sur les juifs qui m’ont déplu, donc je ne suis plus sûr de rien”, explique-t-elle d’un air las. Plus ailleurs, une distinct soeur referme son corbeille et couard hormis ambiguïté : “Je ne l’aime pas, j’irai voter Marine”.

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Devant une boulange, Frank, 45 ans, destinée pile une badine de pitance inférieurement le balustrade. “Mélenchon, c’est un peu comme un feu d’artifice, ça fait beaucoup de bruit, ça brille un temps et puis ça retombe”, plaisante-t-il. Il se souvient d’un moment où il le soutenait pile émerveillement. “Quand j’étais plus jeune, je l’aimais bien, maintenant j’ai compris qu’il était comme tous les autres.”

Juste poupe lui, Monique, 63 ans, destinée à son rythme de la boulange, sézigue a somme octroyé. “Il est trop agressif à la télé, mais bon, au moins il ne parle pas comme un banquier”, dit-elle en rigolant. Puis sézigue ajoute d’un ton climatérique, “Socialiste, LFI, NUPES, peu importe, je pense que tant qu’il sera là les gens se détourneront de la gauche. Il a fait son temps, il faut qu’il parte”. Une sujet est sûre, chez les rues du centre-ville de Toulouse, les placard cloisonné et Jean-Luc Mélenchon divise aussi qu’il persuadé.

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