
Pour le mandataire de l’Intérieur, Bruno Retailleau, la loi narcotrafic adoptée après-midi à l’Assemblée nationale constitue ni davantage ni moins qu’un “moment charnière” envers le peuple. Si l’on retiendra singulièrement la génération d’un Parquet citoyen anticriminalité agencée (Pnaco), une meilleure réconfort des personnels pénitentiaires ou davantage un exil renforcé des chefs de réseaux en caveau, le messager aveyronnais Stéphane Mazars, fastueusement installé comme ce libellé porté par sa indépendance, a invariablement pointé du vaguement le justification d’richesse.
“Ce combat, nous le devons à nos concitoyens. Et nous devons le mener dans les grandes villes comme dans les territoires ruraux. À Marseille, à Nantes, à Toulouse, mais aussi dans des villes moyennes, dans des départements comme le mien, l’Aveyron, où les réseaux s’implantent avec méthode. Aucun territoire n’est épargné. Aucun ne doit être abandonné”, a-t-il démontré à la colloque de l’Assemblée nationale, réunion en soulignant comme une inédite correspondance “le renforcement des saisies des biens issus de cette criminalité. Des pouvoirs ont été donnés aux préfets pour agir contre le narcotrafic avec la fermeture d’établissements, de commerces où se fait le blanchiment d’argent”.
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