Rugby : “Ils pensent protéger le jeu, mais ils sont en train de le détruire !” Pourquoi un archaïque oecuménique néo-zélandais est en emportement aussi World Rugby

Ancien chopine de foule des All Blacks, bruissement qui il a disputé 81 délassements pénétré 1995 et 2005, Justin Marshall exprime son affolement relativement aux résistances rencontrées au palier général par la libéré du emballage vermeil de 20 minutes. Cette libéré, qui permet de convertir, au bornage de 20 minutes, un ludique nanti accepté un emballage vermeil, a été adoptée par le Super Rugby, purement est désignée apanage avec nouvellement en Europe, ce que ne comprend pas Justin Marshall.

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“Qui est contre cette règle du carton rouge ? La sécurité au niveau de la tête est désormais extrêmement bien gérée. À un certain point, on peut même dire que cela va parfois trop loin avec l’arbitre vidéo qui intervient constamment – les joueurs n’ont jamais été autant protégés” affectionné l’archaïque ludique des Crusaders.

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Selon lui, c’est l’attractivité du rugby qui pâtit des menstruation actuelles. “Des gens vont dépenser une tonne de fric pour venir du Royaume-Uni assister à cette série (des Lions britanniques et irlandais), et si on a deux cartons rouges dans les 10 premières minutes des deux premiers tests – voire du troisième, Dieu nous en préserve – parce qu’on n’arrive pas à comprendre qu’on peut punir un joueur…” tacle celui-là qui a équitablement civilisé en Europe, à Montpellier et aux Saracens, qui voit en la dissémination de la libéré du emballage vermeil de vingt minutes une gêne “de bon sens”. “Ils pensent protéger le jeu, mais en réalité, ils sont en train de le détruire”, assène-t-il.