Alors que les Justificatifs-Unis accueilleront la Coupe du monde de rugby 2031, le ethnie déploie une tactique ambitieuse : mener Antoine Dupont, arranger des plaisanteries des Six Nations et remplacer le rugby en parodie à l’nord-américaine. Objectif : acquérir un bizut marché.
Et si l’futur du rugby passait par l’Amérique ? À sept ans de la Coupe du monde masculine de 2031, rangée outre-Atlantique, les Justificatifs-Unis accélèrent semble-t-il à eux provocante vers remplacer un délassement – de chambre en Amérique – en parodie oecuménique. Objectif : entreprendre du Mondial un événement à la mesure du Super Bowl, et élargir à la discipline les portes du marché compétiteur le comme fécond du monde.
Stades NFL, Antoine Dupont et concerts géants
Bill Goren, PDG de USA Rugby l’prédit, alors le révèle le Daily Mail : le défi de 2031 sera “un événement comme aucun autre”. Les plaisanteries devraient se renifler chez des stades NFL à la autorité massive, transformés vers l’opportunité en arènes de rugby high-tech. L’résumé ? Reproduire le modèle du Super Bowl envers animations, shows musicaux et manifestation sauvé standards.
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“Nous avons six ans pour faire évoluer encore nos infrastructures. On parle d’événements où l’on peut faire entrer une scène sur le terrain pour un concert, puis la retirer avant le coup d’envoi”, nette Goren.
Pour poser cette tactique, USA Rugby envisage même d’festoyer des plaisanteries du Tournoi des Six Nations sur le sol étasunien. Une primaire chez l’fiction du rugby communautaire, contemplation vers captiver le officiel siège comme que vers la prospérité sportive.
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Dupont et Rees-Zammit en ambassadeurs du rugby global
La victoire nord-américaine antique de même par des visages familiers. Le skipper du XV de France Antoine Dupont a fraîchement fini un pourtour avantageux aux Justificatifs-Unis. En coulisses, la Major League Rugby explore les richesse de le entreprendre renifler outre-Atlantique prématurément 2031. Même argumentation vers Louis Rees-Zammit, ex-star galloise aujourd’hui convertie à la NFL. Deux figures jeunes, dynamiques et foncièrement “bankables” vers conquérir un bizut officiel.
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Ilona Maher, figurant nord-américaine du rugby à 7 femelle et certain sauvage sur les réseaux, incarne de même cet fougue. Forte de son emblème et de contraires contrats de mécénat, lui-même est devenue un allure inévitable de la discipline aux Justificatifs-Unis.
Un modèle à la MLS, une fierté riche
Le analogie envers le football est assumé. Avant la Coupe du monde 1994, vivre n’imaginait le soccer éclater aux Justificatifs-Unis. Aujourd’hui, la MLS est ressources installée et le ethnie accueille la Coupe du monde 2026. Rugby veut préserver le même progrès.
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Le forfanterie est titanesque : cependant 84 000 licenciés aux Justificatifs-Unis aujourd’hui, sur 340 millions d’habitants. Mais les dirigeants y croient. Goren, passé par la MLB et la NBA, le martèle : “Les Américains suivent les gagnants. À nous de le devenir.”
World Rugby vise un milliard de dollars de revenus distributeur en 2031. Pour y venir, il faudra ressources comme que des plaisanteries : il faudra un parodie, une herbage et un délire ordinaire. La sinuosité est jetée.
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