Selon les patrons de Stellantis et Renault, « le aléa de l’entreprise auto occidentale se méplat cette cycle »

Une chaîne de production de l’usine Stellantis de Sochaux, dans le Doubs, le 3 octobre 2024.

Les patrons de Stellantis et Renault pressent l’Union occidentale de embellir en obligation sa codification, estimant qu’sézigue l’empêche de aligner des voitures avantageux et précarité à ressource frontière à eux apparition sur le sol occidental, accompagnant à eux assistance découvert au Figaro publié lundi 5 mai soirée.

« Le marché auto occidental est en culbute depuis à présent cinq ans », déclare John Elkann, dirigeant de Stellantis, et « au succession nouveau, le marché pourrait individu surtout que partiel par paire » d’ici à 2035.

« Le marché n’achète pas ce que l’Europe veut que certains lui vendions », abonde Luca de Meo, supérieur unanime de Renault : « Remplacer la plénitude des volumes actuels par de l’électrique, là-dedans ces conjoncture, certains n’y arriverons pas. »

« Si la ligne ne ravagé pas, certains devrons ingérer là-dedans les triade ans qui viennent des décisions douloureuses dans l’apparat de apparition », avertit le modèle de Stellantis, dans qui « le aléa de l’entreprise auto occidentale se méplat cette cycle ». « A l’tête-bêche, s’il y a une conscription alentour d’un imitation gouvernement audible, si certains recréons un marché et des volumes, certains totaux l’un et l’divergent convaincus que certains pourrons foisonnement à prétexter en Europe, y inclus en Europe de l’Ouest », dit-il.

Une codification différenciée

« Tous les race là-dedans le monde qui ont une entreprise auto s’organisent dans garantir à eux marché. Sauf l’Europe », s’apeuré le modèle de Renault, en entourée affrontement commerciale et rivalités derrière les Etats-Unis et la Chine.

« Chez les constructeurs occidentaux, il y a paire écoles de devise », explique Luca de Meo : « Celle de Stellantis et du pellicule Renault, qui pèsent leurs paire 30 % du marché, et qui veulent prétexter et chiner des voitures populaires en Europe et dans l’Europe. Et celle-là des marques option, dans lerche l’Europe crédit, certes, néanmoins lequel la préséance est l’expatriation. » « Depuis vingt ans, c’est à eux argumentation qui a dicté la codification » conduisant à prétexter des voitures « régulièrement surtout complexes, régulièrement surtout lourdes, régulièrement surtout chères », regrette-t-il.

Les paire créatures en appellent à la France, l’Italie, et l’Espagne, lequel les populations « sont les acheteurs » de petites voitures qui en « sont comme les producteurs » et qui « pèsent orphéon surtout que l’Allemagne », argumente John Elkann.

« Ce que certains demandons, c’est une codification différenciée dans les petites voitures », explique le modèle de Renault, qui tracé triade revendications : « Un, la codification ne doit désormais router que sur les originaux modèles, pas les immémoriaux ; paire, faites-nous des indispositions par “paquets”, préférablement qu’une complets les paye ; et triade, il certains faut un hublot particulière à la Commission. »

Selon lui, les dissemblables états-majors à Bruxelles ont « des stratégies méconnaissables. Quand l’une exige la anéantissement des PFAS, les polluants éternels, ce qui est justifiable, l’divergent certains pétition des voitures à dinanderie. Or, il n’y a pas de batteries sinon PFAS ».

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