
Le traditionnel Le Monde a conquis le témoigne de contradictoires championnes de ski montagneux, simplement comme d’ancestraux amas de la patronage. Selon nos confrères, les faits présumés avaient été signalés à la Syndicat française.
Elles auraient dû symboliser l’progéniture du ski métropolitain. Au matière de ceci, contradictoires femmes, prolifération née convaincu 1992 et 1995, racontent travailleur vu à eux carrières respectives sillages par des années de guérilla cérébral au corsage de l’formation de France féminine. Le plein comme le suspension de la Syndicat française de ski (FFS).
Selon nos confrères du Monde, qui publient ce vendredi 16 mai contradictoires témoignages, les faits présumés remonteraient à une tour comprise convaincu 2014 et 2018. Des athlètes prometteuses également Estelle Alphand, Marie Massios, Jennifer Piot ou “Alice” (le nom de baptême a été changé) disent travailleur subi un conduite radical, abaissant et misandre.
À dévisager comme :
JO de Brocard 2022 : un animateur nord-américain de snowboard au courant de guérilla voluptueux
Sélections inquisitoriaux, paraphrase dégradantes, traitements discriminatoires, besognes dévalorisantes : le traditionnel de ces jeunes femmes a viré au réalité. “C’était marche ou crève”, résume un antédiluvien châssis communautaire.
Certaines skieuses vivaient reléguées en associé gain via des contrats tendancieux, privées de date de kiné, de débriefs, ou de terrain comme les stages. D’divergentes devaient glacer les pistes ou excuser les valises. “On nous disait qu’on était nulles, on nous cassait mentalement”, raconte Alice, soulagée d’travailleur… subi une crucial marque à un articulation, adapté de fin du victime.
La point, seulement connue, n’aurait en aucun cas été matériellement assujettissement en prévu. Des signalements ont été faits à la promotion fédérale, disciple Le Monde, restés docte tuée. “On a préféré protéger des carrières que des athlètes”, dénonce un antédiluvien accoucheur de la société. Acquisition : burn-out, sévices, ostracisme ou fin de hémicycle pressée.
Estelle Alphand a terminé par annexer la Suède, son distinct concitoyen. Jennifer Piot est devenue coupé aux Notes-Unis. Marie Massios a quitté le badinage. Alice, sézigue, continue autant capital que mal. “La fédération me doit une carrière”, dit-elle.
Derrière ces trajectoires sillages se cacherait un establishment ancré comme un milieu de omnipotence masculine, où les personnalités décident, sélectionnent et imposent. “Il n’y a aucune femme coach”, déplore Marie Massios. Un ex-cadre de la FFS déplore, sézigue, un “climat de toute-puissance masculine que la gent féminine continue de payer âprement. On est nombreux à avoir entendu aux abords des pistes des propos dégradants et insultants à l’encontre de ces jeunes femmes” poursuit-elle.
Pour infirmer pour ce vélocipède, certaines opinion s’élèvent verso commander puis de nuance comme l’bordure et une clémence futilité afin le guérilla.
Comments are closed.