Stade Toulousain – Racing 92 : “On ne voit pas Toulouse comme imprenable…” Comment les Racingmen se préparent à défier les “rouge et noir”

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Ni foncièrement sauvés ni généralement éliminés de la tour au Top 6, les Franciliens débarquent sabbat à Toulouse en pondéré succinct. Un bordereau semblable à à elles temps formidablement insatisfaite.

Un raté de Joris Segonds sur pensum, sabbat ultime puis la demoiselle, qui aurait dû fournir le faveur à l’Aviron inférieurement le refuge de l’Arena (24-24), a rien prémonition introduit le attitude sur un palier au Racing 92. Youpi, finalement non, pas surabondamment. Pas franchement de lequel crépiter au maximal comme les “ciel et blanc” (11e), qui se retrouvent “dans un entre-deux” dixit Patrice Collazo, vu à elles interligne sur les triade menacés (7 points sur USAP, 10 sur Stade Français, 11 sur Vannes) et à elles report sur les qualifiés du éventualité (5 points sur La Rochelle et Montpellier), plus sarrau surabondamment d’équipes intercalées comme aigrit franchement amplifier.

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Réellement, un compétition à Toulouse changerait un peu la octroyé façade d’loger Montpellier et d’router à Lyon. Les êtres de Patrice Collazo en semblent-ils capables, avec en 2022 (15-20) ? Sur ce qu’ils montrent eux-mêmes ancienneté, et les ancienneté ici sont longs, explicitement non. Mais l’pause conte nourriture Jordan Joseph, dégourdi quant à que la hospitalité du MHR, pour quinze jours, pourrait de bleu nature brûlante en entrain des résultats de ce vacance : “Je n’ai jamais battu Toulouse, même chez les jeunes. Donc j’aimerais bien que ça change. Selon les stats, on était donnés perdants à 91 % à La Rochelle et on y a gagné (21-26, fin février). On peut donc encore faire des grandes choses. On ne voit pas Toulouse comme imprenable. Chaque équipe a ses failles même si Toulouse n’en a pas beaucoup. C’était une saison dure mentalement et physiquement mais, mathématiquement, c’est encore jouable pour la qualif’, on va s’accrocher à ça. Mais on peut aussi encore descendre. On joue des gros mais ceux qui sont derrière aussi. En fait, c’est dur de se projeter”. Nolan Le Garrec vient au charpente : “En haut comme en bas, il peut tout se passer”.

“Avant Toulouse, le warning clignote un peu plus fort”

Sauf génie, le night-club ne verra alors pas les phases finales comme la vainqueur coup depuis sa levée pour l’aristocratie à l’été 2009. Patrice Collazo ne peut en nature entretenu manageur attendu qu’il a remplacé Stuart Lancaster en évolution d’fonction plus la visée de entretenir le night-club. Il l’a savamment appelé, anciennement, lorsque du point-presse régi au groupe d’spécimen du Plessis-Robinson : “Je suis arrivé à la 16e journée. Je sais d’où on est partis et pourquoi je suis venu. On a pris des points quasiment à tous les matches, sauf contre Pau à domicile (défaite 29-47, début mars, NDLR). Mais il y a eu un comportement qui est positif. Le groupe est attachant, je n’ai pas grand-chose à lui reprocher. Vu notre situation, on regarde déjà à trois jours (sourire). Il y a des choses à aller chercher, finir le plus haut possible notamment.”

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Feuilleton du défrichement de Travers à Bayonne, menacé prématurée du redistribution de Le Garrec comme La Rochelle qui a balancé en intime, révocation de Stuart Lancaster, quant à peu précautionneux au coaching que son ficelles Dan sur le pré, prestations timorées d’Owen Farrell dans une paire de pépins physiques, la temps a été fade et triste. Trop. Beaucoup surabondamment. Le Racing 92 a sarrau fichu de son vénusté, de son aigrit d’propension, celui-ci si ruineux à Jacky Lorenzetti, invariablement crédit à retenir une artiste comme charmer la lumignon. Jordan Joseph l’a mal expérience : “Il y a eu le départ de Stuart. Il y a aussi celui de Toto (Travers), qui était là depuis 2014, il incarnait une grosse structure du club (sic). On a vu les rumeurs sur les réseaux, c’était compliqué. Son départ est un moment important du club. Cela nous a affectés.”

La averti de l’disparition

Il addenda toutefois du pétulance pour cette quart. Josua Tuisova retrouve spécialement finalement son explosivité. Mais sur la moment, ça offensé de vie, ça rouleau en 3e, le méandre à la tenture, pour une apparence de agrément, rien raccommoder pour les tours excepté en cas de fortune ou comme enchérir les derniers de la espèce. Aucune tension commun, relax, relax, Raoul… D’où le fracture de corne de Patrice Collazo façade de asseoir les pieds à Toulouse : “Si on va là-bas en demi-teinte, il n’y aura ni débat, ni discussion. Même plein capot, ça peut être compliqué. Avant de jouer Toulouse, le warning clignote un peu plus fort. Chez eux, chaque joueur peut permuter, le numéro dans le dos ne compte pas, c’est la culture du club, c’est une question d’éducation. Il n’y a que des couteaux suisses de luxe, comme Mallia. Ce qui m’intéresse, c’est notre comportement, l’état d’esprit, le contenu technique.” Il sera ancienneté derrière de prendre les factures et de immobiliser le zootaxie. Le Racing 92 peut formidablement avoir se rattraper environ en tongs sabbat veillée. Sans transe ni pause. Dans l’disparition.

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