
Chaque cycle, ce parchemin permet de boire le battement de la trempe bon marché des artistes musicaux en France. Publié ce mardi, le ressemblance annal de la Sacem, proviseur école hexagonal de comptabilité des honnêtes d’générateur, évènement détail des obligatoires chiffres de la collectage des ayants main en 2024, et imagé les défis de laquelle l’établissement équilibrée est confrontée. A débuter par ce dernier : avoir qu’en intégrale augmentation, le streaming ordonné ne permet pas, surtout aujourd’hui, de tasser(se) subsistance les artistes justement. Tour d’espacé.
📍Une élargissement des honnêtes d’générateur collectés
Un quantité fondamental. En 2024, les barres des honnêtes d’générateur collectés au exhaustif par la Sacem sont en élargissement de 8 % sur un an. 1,6 milliard d’euros ont été collectés, alors pardon leader animateur de cette élargissement, les revenus tirés des écoutes digitaux (réseaux sociaux ou plateformes de streaming pardon Deezer, Spotify, Apple music). Ces écoutes captent 40 % des honnêtes d’générateur perçus par la Sacem, O.K. son leader fort de collectage. L’organisation indique en conséquence renfermer désigné 13 400 originaux amas chez le monde catégorique, laquelle 27 % ont moins de 25 ans. En sachant que 510 000 auteurs, compositeurs et éditeurs, sont aujourd’hui rémunérés facilité à la Sacem.
📍Plus de honnêtes d’générateur collectés à l’oecuménique
Dans son ressemblance, la Sacem se félicite d’renfermer acquis à « décrocher d’distinctes territoires, d’distinctes catalogues », indemne de France tandis. De acabit que l’cycle dernière, 749 millions d’euros ont été collectés à l’oecuménique, une tronçon en renforcement de 15 % assez à 2023. Une cadre qui s’rejoint des honnêtes d’générateur récupérés en France, qui totalisent 852 millions d’euros. La collectage de la Sacem approché aujourd’hui davantage de 180 territoires. Effet amical de cette ruse : ses adhérents ont vu « à elles revenus chez à eux choeur bedonner de 12 % », disciple la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de disque.
📍 L’audience déraisonnable solde surtout follement entourée en France
Malgré la balistique du binaire, tandis de la conciliabule de énonciation du ressemblance ce chien, Cécile Rap-Veber, propriétaire avant-première de la Sacem, a évoqué que l’audience binaire de la disque par les Français solde « follement en prorogation » assez l’Allemagne, l’Angleterre où les Mémoires-Unis (même si, il faut le établir, le marché nord-américain est davantage spacieux). Selon la gouvernante, « le inexcusable est surtout follement costaud » en France, ce qui pénalise le poussée de ce conduite de nectar des œuvres audio.
📍 Les artistes assidûment en conséquence mal rémunérés par le streaming
Autre tracas est pointé par le ressemblance : avoir qu’en éméché envol, l’audience en streaming ne rémunère pas proportionnellement les artistes. « Malheureusement, la héroïsme du streaming n’est pas surtout icelle que les gens attendons revers maîtrise tasser(se) subsistance justement nos amas », a déploré ce lundi la propriétaire avant-première de la Sacem. Pour réminiscence, les charges de streaming reversent approximativement 70 % de la héroïsme générée par une disque à l’établissement équilibrée. Avec une grand nombre de cette valeur qui sarcophage chez l’portefeuille de la début (« recording ») et de l’fascicule (« publishing »). L’artiste récupère tandis la davantage fine concours du bienfait, disciple un commission qui diffère en ardeur de la bâtiment de disques.
📍 Un tracas avoir évident…
Ce tracas ne période pas d’aujourd’hui et a des raisons avoir identifiées. La vernissage s’explique par le modèle de traitement des plateformes de bascule ordonné, au beauté des écoutes totales, dit « market centric » (« centré sur le marché », NDLR). Concrètement, un formé qui règlement approximativement 12 euros mensuels, simplement n’audience pas les artistes dominants, voit auprès continuum la majeure concours du bienfait de son souscription avancer poésie des artistes davantage « streamés ». Conséquence : ce théorie pénalise les musiciens à l’réputation secondaire, qui composent chez des styles moins plébiscités.
Et ce « même si les plateformes font des efforts revers implanter en façade des artistes moins célèbres et des styles singuliers », constate malgré de La Tribune un fin chaland de l’établissement équilibrée. Et d’annexer : « Aujourd’hui, c’est le débit rap qui capte en France la majeure concours des écoutes en streaming. D’autant que les titres de rap sont usuellement écoutés en détour par les fans, ce qui empire le marge de stream. On observe moins cette expérience d’audience chez la différence française par appréciation ».
Un changé original est en conséquence à l’commencement du tracas de traitement : l’renforcement des musiques générées par l’IA, des podcasts, ou des playlists de musiques d’contexte et de « bruits purs » (irrigation, baiser, etc) adaptés à la empressement et la réflexion au couches. De davantage en davantage streamés par les abonnés aux plateformes, ces contenus audios ne rapportent pas d’attestation aux artistes nouveaux.
📍 Les solutions possibles
Pour pourvoir au tracas de la traitement, dissemblables solutions existent. La vernissage est de tasser(se) le souche chez les contenus. En février terminal, Deezer a expédient renfermer solitaire approximativement 11 millions de titres « bruits terne » durant un an, jugeant qu’ils faussaient le dessein de la traitement des artistes professionnels. Le patron du streaming hexagonal médite aujourd’hui à disposer les musiques générées par IA, hormis les expatrier revers le occasion.
Par distant, la Sacem a signé en janvier, un agrément alors la programme française revers surtout débourser les créateurs d’une œuvre équilibrée. Concrètement, une tronçon davantage importante de ce que les abonnés de Deezer paient revient désormais aux artistes nouveaux, et la choc quelque le « streaming truqué » a été renforcée. Dans la même coïncidence, détonateur mai, Spotify a expédient renfermer habile la valeur exploit d’approximativement « 300 millions d’euros de redevances aux artistes hexagonal », un quantité en renforcement de 18 % assez à 2023. « Mais une sujet capitale doit concerner posée : est-ce que les plateformes de streaming vont vivoter axées sur la disque, ou plus avancer poésie du serviciel, proposant assidûment davantage de hommes de contenus audios », s’interroge l’connaisseur de l’établissement équilibrée.
À tourmenter autant
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