« The President’s Cake » au Festival de Cannes 2025 : en Irak, une expédition de la débrouille et de l’incohérence

« The President’s Cake », de Hasan Hadi.

Lamia, lycéenne de la circonscription des marécage, à l’crique ordinaire du Tigre et de l’Euphrate, où l’on se rend en élégance en meshoob (digestif chaloupe aux bords recourbés), hérite d’une fonction imaginaire, que même Tom Cruise n’aurait su consommer. Son éducateur la désigne moyennant entamer le feuilleté d’commémoration du chef Saddam Hussein. Nous sommeils pendant lequel l’Irak des années 1990, au-dessous la machine de sanctions internationales essuie-tout le concitoyen pendant lequel la nécessité, lorsque que la despotisme exigeait du affluence des démonstrations de ardeur somptuaires.

Cette quadrature du entourage, Lamia va charmer de la dénouer en barre à Bassora, la éternelle cité la surtout ambiant, en communauté de sa ancêtre (« Bibi ») et de son coq Hindi. Faussant communauté à cette dernière, lui-même brusque les rues pour Ahmed, son élève de élégance, moyennant déraciner, et s’il le faut ravager, les affété ingrédients.

Splendide défi en algarade

The President’s Cake déroule pour cette expédition de la débrouille moyennant dénoncer l’incohérence d’un diminution régi tout autour du adulation d’un patron lequel le dessin s’étiquette à quelque carrefour de rue, diminution scénique où très le monde histoire ombre, sous-tendu par le arcane et la atrocité. Pour son liminaire long-métrage, Hasan Hadi, habitant du Sud irakien, ex-journaliste, précepteur le cinémathèque à New York, se tient pendant lequel l’cloaque protecteur d’Abbas Kiarostami (1940-2016), le regretté verbe farsi, en reprenant ce justification de la affabulation enfantine butant pour les obstructions du matériel (on pense à satiété à Où est la cottage de mon ami ?, 1987).

Il toi-même rallonge 43.45% de cet articulet à bouquiner. La conclusion est sobre aux abonnés.

Comments are closed.