Tour de France : “Ils peuvent tester des éprouvettes dans 100 ans !” Un archaïque acquérant de la Grande Boucle se trahi sur les accusations de dopages

Vincenzo Nibali est l’un des grands cyclistes italiens, il a remporté le Tour de France en 2014, une Vuelta (2010), un couple de Giro (2013 et 2016). Il s’est de la sorte illustré parmi les classiques en remportant le belvédère de Lombardie en 2015 et 2017 pourquoi que Milan-San Remo en 2018. Retraité depuis 2022, il s’est livré au Corriere della Serra, parmi une entretien, il proche sa amphithéâtre et son lumière médiatique.

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“J’étais submergé, écrasé par la popularité, les sollicitations, les fans et les journalistes. Quand on se promenait avec le bébé dans la poussette, ils nous attaquaient. Avec ma femme Rachele, on voulait juste fuir tout et tout le monde. Puis on s’y est habitués, mais ce n’est qu’en arrêtant la compétition que j’ai vraiment commencé à vivre”, a-t-il illustré.

“La tête haute, toujours”

Après sa perfection sur le Tour de France en 2014, Vincenzo Nibali a été la objectif de de nombreuses accusations de dopage. Il a appelé les soupçons qui l’entouraient : “Je gagnais, j’étais italien et le patron de mon équipe, Vinokourov, avait un passé ambigu comme d’autres managers. J’ai été suivi, ils ont fouillé ma voiture et vérifié mon téléphone, et je suis sûr qu’ils ont aussi fouillé ma maison pour trouver des preuves qui n’existaient pas”.

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L’Italien surgeon “la tête haute, toujours”. “Les cyclistes étaient des cibles faciles. Je ne me suis jamais dopé de ma vie et, surtout, je n’y ai jamais pensé. Ils m’ont contrôlé un million de fois, ils peuvent tester des éprouvettes dans 100 ans.”