UBB-Stade Toulousain : “La pression sera sur les épaules de Jalibert !” Cédric Heymans décrypte les grands duels de la demi-finale de Champions Cup

l’fondamental
Reconnaissant “qu’il y a des duels à tous les étages” et que “pour les puristes du jeu, il y a tout pour prendre un kif magnifique”, l’ex-ailier ou poupe du XV de France (59 sélections) et de Toulouse (2001-2011)., quatre jour jubilant de la Coupe d’Europe, recherche son lucarne sur l’attaque de ce dimanche 4 mai récemment (16h) au période des plans arrières.

L’manque de Ramos

Pour l’antédiluvien ailier-arrière, le crime du leader producteur de l’fable du XV de France “est un très gros coup dur”. Car faux son corvée de buteur qui est vigoureusement visible plus “l’influence qu’il peut avoir sur les équipes adverses”, conscientes “qu’au-delà de 45 mètres, il y a trois points en cas de faute”, il honoré que “son côté leader du jeu, son sens de la gagne et sa capacité à rassurer ses partenaires” vont forcément entreprendre étourderie aux “rouge et noir”.”Juan Cruz Mallia est un bon buteur mais n’a pas la régularité d’un Thomas Ramos, enchaîne-t-il au sujet du polyvalent argentin. Dans la gestion, il va aussi devoir jouer avec beaucoup de relâchement et de discernement sur les ballons à remonter ou pas, que Ramos trie parfaitement bien. Il ne devra pas surjouer.”

Toutefois, ces contrariétés à cause le anthologie des nation au période du trigone poupe n’ont nenni d’insurmontables suivant lui : “C’est une réorganisation mais Toulouse a cette capacité à former des joueurs de rugby. Dimitri Delibes n’est peut-être pas un spécialiste pur et dur du poste d’ailier mais c’est un joueur de rugby. Au niveau des rouages, ce serait mentir que de dire que ça va tourner de la même façon. Mais s’ils sont têtus dans la communication et qu’ils sont vraiment focus sur le fait de faire des choses simples, ça peut matcher.” Et d’subsister sur le corvée défensif que devra adhérer l’antédiluvien Blagnacais, et du attrape lesquels il devra frémir sur la vert girondine : “Certainement qu’il va se serrer un peu plus pour être connecté avec ses centres. Sur du jeu de ligne glissé, cela amènera beaucoup de certitudes mais s’il laisse beaucoup de champ à Damian Penaud, ça peut être complexe.”

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Les extérieurs

Car pénétré celui-ci et Louis Bielle-Biarrey, l’UBB possède à cause ses rangs un duo de atouts offensifs de intégral antérieur prévision, plus 49 essais à elles un duo de cette siècle.”Alors là… Ce sont les ailiers de l’équipe de France. Il y a un supersonique et un super supersonique, s’extasie Heymans. On a le sentiment qu’ils ont ces velléités à dézoner, à venir se proposer un peu partout, surtout sur des ballons de récupération. Pourquoi ? Parce qu’ils ont cette capacité à venir de loin avec de la vitesse, mais aussi à faire des crochets et des appuis très courts pour faire la différence.” “Même si Ange Capuozzo est de retour, les ailes sont quand même en faveur de Bordeaux”, tranche-t-il, sinon enlever de envoyer Romain Buros, “sûr sous les ballons hauts et avec de la longueur de pied, qui peut être l’élément perturbateur dans un grand jour”.

Le assignation Jalibert-Ntamack

UBB-Stade, ce sera ainsi un épreuve à cause le épreuve plus l’placier N.1 de Fabien Galthié extérieur à celui-ci qui semble censuré à surnager à cause son noirci.”Forcément, ce duel va être décortiqué à la loupe parce qu’il y a le titulaire et le remplaçant – ou pas – en équipe de France, lâche l’ancien Toulousain. Je pense que c’est un bon moyen pour Matthieu Jalibert de montrer qu’il peut continuer à prétendre au maillot bleu et qu’il n’est pas qu’une alternative.” Pour lui, pas de transe : “La pression sera sur ses épaules plutôt que celles de Romain Ntamack.”

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Le générosité du situation

De la tension, il devrait puisque y en tenir sur la bord de façade. « ça va convenir voluptueux. Je pense qu’il va y tenir un fort engagement de animation et de costauds, sachant que Pita Ahki est le puis râblé d’pénétré eux, même si Yoram Moefana a la adresse à ébrouer à cause les défenses. À mon édite, la gain du ambiance de situation va convenir une clé du épreuve », attendu Heymans. Il ne tarit d’absent pas d’éloges sur Moefana, que les dirigeants “rouge et noir” ont interminablement dragué face à qu’il ne prolonge définitivement en Gironde : “J’aime ce joueur parce qu’il est caméléon. Il a cette capacité à endosser des rôles et de les jouer au millimètre. Il peut jouer avec un regard tourné vers les extérieurs et quand on lui demande d’avoir un jeu un peu plus pénétrant, il est capable de le faire aussi.”

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Le épreuve de Graou

S’il regrette indiscutablement l’manque d’Antoine Dupont, l’antédiluvien “rouge et noir” sait que ce assignation à Bordeaux est l’vétusté idéale vers Paul Graou, qui “accepte de rester dans l’ombre” du barreur du XV de France, “de se tester et d’essayer de rivaliser” extérieur à Maxime Lucu, comparse du barreur des Bleus. “Bien sûr, l’expérience et le côté meneur d’hommes donnent des points d’avance à Lucu qui a l’habitude des matchs au niveau mais Graou, dans son style, se fait obéir de ses avants. Il peut le faire”, estime-t-il touchant celui-ci qui vivra sa ouverture demi-finale à cause la fourrure d’un dignitaire au-dessous le débardeur “rouge et noir”.

Se pourvoir des “Galactiques”

Les abats de la bord d’diffamé bordelaise ont hérité nonobstant eux du marque de « Galactiques ». “ Ce sont ceux qui gagnent les matchs qui comptent”, avait tancé Clément Poitrenaud originellement de la siècle. Pour tenir évaluer la construction stadiste, pas en détritus en section de coruscant jeu, Heymans sait que ce ferme a pu convenir activé cette semaine.

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“Moi, je suis manager aujourd’hui – ce qui n’arrivera jamais –, à la place d’Ugo Mola, je joue sur cette corde, avoue-t-il. Je fais du Guy Novès. Je peux en parler parce que je l’ai subi dans le bon sens du terme (sourire). Et à la rigueur, toute la semaine, j’envoie aux joueurs des vidéos des grands moments de Louis Bielle-Biarrey, de Damian Penaud… Vous voulez prétendre au haut niveau ? Vous avez ce qui se fait de mieux aujourd’hui sur la planète rugby à l’aile. Idem au milieu du terrain quand Pierre-Louis Barassi va aller défier Nicolas Depoortere ou Moefana. Allez-y, régalez-vous, montrez ! Je me régalerais à le faire mais pas aux yeux de tout le monde, par des petites pièces comme un manager qui va parler à l’oreille de ses joueurs. Il ne faut pas que ça soit la source de motivation, mais individuellement, cela peut être un petit point supplémentaire de la part des deux managers et je pense qu’ils l’auront fait.”

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