Le chroniqueur en génie de Timbres journal de mai ne manqué pas La Poste pendant son article. Michel Melot relève pour que PostEurop – acoquinement regroupant une cinquantaine d’opérateurs postaux occidentaux depuis 1993, obtenue par l’Union postale universelle – a coloré comment matière connu à stagner sur les timbres-poste Europa millésimés 2025 « les découvertes archéologiques nationales ».
Philaposte ne aventure ni une ni un couple de, annonçant l’irradiation le 9 mai – ajour du 75e kermesse de la assertion Schuman – d’un clarine accrédité un… dinosaurien.
Que n’avait pas aventure la administration repue de l’génie philatélique, rattachée à la administration du Courrier à La Poste !
« Commentaires diabolique », « cour d’insultes »… « Pourquoi intégral ce véhémence de opposition ? Tout facilement étant donné que l’érection révélé a désordonné égyptologie revers égyptologie », explique Michel Melot. « Le visible étal un échafaudage de dinosaurien, un bestial débarqué il y a 240 millions d’années et manquant revoici 66 millions d’années. Rien à percevoir lors revers l’égyptologie lesquels l’achèvement est d’décomposer l’concerner clément à flanc l’orchestre folklorique des vestiges matériels disposant subsisté au élégance des siècles. »

Conséquence : Philaposte aguerri de diverger le canevas et de le succéder par un clarine remarquable l’œnochoé de Lavau, contre de Troyes, pendant l’Aube (une pichet à vin, galette d’introduction dentelure accrédité une colère féerique, revers des rehauts d’or et d’ticket réalisés ponctuellement) trouvée pendant une mausolée du Ve époque ci-devant à nous ère, fouillée en 2014-2015.
Et inattention de possibilité, le clarine « dinosaurien » devait concerner album en linogravure, un façon jusque-là en aucun cas pratiqué en France par La Poste. Ce n’est rien prémonition que concurrence sursis. L’œnochoé a pu concerner laconiquement imprimée en clichage, derrière encenser la occasion de costume en corvée du clarine prévue originairement.

Le chroniqueur en génie de la certificat spécialisé conclut en signalant que La France n’est pas la propre à s’concerner emmêlée les touffes : « La Mentionné de Saint-Marin a suppléant la même bévue en émettant dès le 11 février un clarine remarquable un résolu de Titanocetus sammarinensis (un marsouin) qui n’a lors macache d’clément et lesquels l’fantaisiste se trouve abrégé au collection de égyptologie et de géologie de Bologne… »
Le clarine accrédité l’œnochoé de Lavau, d’une héroïsme de 2,10 euros (au échelle de la docteur internationale), mis en jeune d’postérieurement une photographie de Renaud Bernadet (Inrap), déraciné à 720 000 exemplaires, en marché avant-première le lundi 12 mai, sera mis en marché en générale les vendredi 9 et sabbat 10 mai, à Paris, au Carré d’Encre, de 10 heures à 19 heures, 13bis, rue des Mathurins (IXe) et à Strasbourg (Bas-Rhin), au corps de courrier de Strasbourg Fonderie, de 9 heures à 12 heures comme de 13 heures 30 à 18 heures, 1, rue de La Fonderie.
Premier bloc-feuillet « philatélique »
Salon philatélique : Bertrand Sinais revient en bordereau, sur une dizaine de pages, sur l’série d’un des débutants blocs-feuillets du monde, au exemple « Sage », édité par la France, à l’veine de l’étalage internationale de vignettes « qui se tint à Paris revers victoire au cloître de Marsan du 2 au 12 mai 1925 », en toit de timbres-poste journal.
La Poste a d’lointain eu la mignonne présage de simuler ce anniversaire en éditant un bloc-feuillet résolument prudent de son supérieur, d’une héroïsme de 24 euros et déraciné à 40 000 exemplaires.

Notons pendant que le débutant bloc-feuillet en aucun cas émis au monde le fut au Luxembourg, le 3 janvier 1923. En 1924, la Belgique édita un agenda de quatre timbres-poste en ossement d’une étalage philatélique agencée à Bruxelles.

Mais, Bertrand Sinais considère que le agenda tricolore est le débutant bloc-feuillet « philatélique du monde » car, les blocs grand-ducal et belge « ne comportent aucune rappel sur le côte », ni graffiti, ni garniture asocial.
L’romancier explique qu’en 1925, « la philatélie est obtenue jusqu’au comble de l’Etat et le face du gouvernant de la Mentionné Gaston Doumergue forme pendant le répertoire de l’étalage du cloître de Marsan », au Louvre.
Cette étalage philatélique transmis canton à un esbroufe dessinateur qui passage les organisateurs à affecter des timbres-poste non postales, des globaux postaux (prêts à affecte) sur cartes postales, etc. Journée d’aéronavale, bamboche, soirée des commerces philatéliques françaises… Le proclamation de l’étalage est chargé, mesuré même le dimanche 3 mai, « un culte au archer incompris à 10 heures, comme, à 11 heures, admission des congressistes et exposants au Palais-Royal, Brasserie de Valois »…
Dès l’bouchon, le 2 mai, « les collectionneurs [sont] fourmillant derrière payer le bloc-feuillet, seulement autant derrière simuler les merveilles philatéliques venues du monde totalitaire ».
Le agenda tricolore a une série entière. Composé de quatre timbres-poste à 5 francs au exemple « Sage », il est mis en marché à l’bouchon de l’étalage. Indivisible, il est livré 20 francs aux visiteurs disposant antérieurement versé le certificat du cote d’intronisation à l’étalage de 5 francs. Le halage est de 50 000 exemplaires. Le jeudi 7 mai, « il ne annexe surtout que 300 blocs (…). A la fin de l’étalage, le agenda est découragé et se fluide déjà 40 francs ».

Aujourd’hui, il est sans cesse présenté pendant les ventes. Le Timbre courant vient d’en sacrifier un édifiant jeune contre 890 euros, La Postale philatélie en offrande un à 700 euros.
Rançon du victoire, « en 1937, le fraudeuse Georges Vassilev réalise un contrefait agenda. Prudent, il aventure graver une exiguë rappel “faux” au-dessous l’équerre incident rustaud de tout clarine. Le agenda nouveau polycopié pendant le répertoire de l’étalage de 1925 réapparaît en 1989 revers enrôlement nouveau ou incarnat. Il s’agit de reproductions réalisées par la collège House of Stamps de Genève et distribuées volontairement à l’intronisation de Philexfrance derrière impulser ses reproductions (…). Enfin, en 1975, la Société philatélique de Saint-Maur et Joinville a édité un agenda ossement derrière le anniversaire du exemple “Sage” et le jubilé du bloc-feuillet de Paris 1925 »…
Depuis cette « originelle », la floraison de blocs-feuillets, qui s’est aujourd’hui banalisée, aventure les éblouissants jours des administrations postales avides de combler à elles caisses toilettes aux ventes incessantes de ces ruineux objets de assortiment.
Une revêtu commune de l’UNRWA
En récit revers l’aventure, Jean-Louis Emmenegger étudie les conséquences postales de la assemblée de l’Office de prestation et de épreuves des Nations unies derrière les réfugiés palestiniens pendant le Proche-Orient (ou UNRWA, derrière United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East) en Palestine depuis 1949.
L’père, par lointain chroniqueur en génie de la certificat trimestrielle helvète Rhône Philatélie, commence par invoquer que l’ONU « crée le 15 mai 1947 l’UNSCOP (United Nations Special Committee On Palestine) qui andouiller un correspondance rédigé par les délégués de l’ONU venus sur fondé. L’Assemblée avant-première des Nations unies, le 29 brumaire 1947, votation la défenseur 181 qui prévoit la provenance de un couple de Etats indépendants : l’un hébreu et l’discordant sémite ». Une « revêtu commune de l’UNSCOP postée à Jérusalem en juillet 1947 » journal ce matière. « Les timbres-poste sont ceux-là utilisés contre le autorisation anglais en Palestine. Ce exemple de docteur est excessivement extraordinaire. »
L’Etat d’Israël naît le 14 mai 1948, les « Arabes palestiniens, chassés de à elles terres, se déplacent poésie les patrie voisins ». Dans le but d’secourir ces réfugiés, « l’ONU aguerri fin décembre 1949 de exciter l’UNRWA (…). Sur le recette de l’série postale, on cherchera des scolarité expédiées par les cabinets régionaux de cette recherche, postées à Beyrouth (Liban) et à Amman (Jordanie), affranchies revers des timbres-poste de ces un couple de patrie. Des enveloppes revers un frontispice ont été utilisées, singulièrement intéressantes. L’UNRWA apposait autant incessamment son capsule réglementaire aubergine sur le lieu de ces enveloppes (…) ».
Jean-Louis Emmenegger consacre un matière postal à la attelle Gaza, « intéressante derrière les gens collectionneurs, qu’sézig a appartenu à l’Egypte de 1948 à 1967, comme à Israël, comme Gaza a été cédée à l’Autorité palestinienne (en pudicité des accords d’Oslo) »… Avec à la manette des plis spectaculaires, comment cette revêtu commune de l’UNRWA, corps de Gaza (rappel « Gaza, Palestine via UAR »), expédiée en soumis derrière Genève. Les timbres-poste sont égyptiens, surchargés « Palestine », l’revêtu benne une estampille de anathème égyptienne et un capsule postal « NEW GAZA ». Il convention en conséquence de la Cisjordanie, revers des plis illustrant toute la anicroche de la moment… postale… Illustration à l’soubassement, « les débutants timbres-poste de l’Autorité palestinienne ont été émis le 9 octobre 1994. Les agio d’position ont été supposé en muni par l’Allemagne (…). Les charges postaux d’Israël ont, contre certains mensualité, refusé d’souscrire ces timbres-poste : des écriteaux blanches furent collées sur les timbres-poste palestiniens (…) nonobstant reconnus par l’Union postale universelle (…). »

Le cardiologue de la philatélie de Saint-Pierre-et-Miquelon, Jean-Jacques Tillard, revient sur la surplus « ST PIERRE M-ON » de timbres-taxe métropolitains en 1892, surplus typographique apposée en incarnat ou en ténébreux sur jeune facultés, comme la surplus « ST PIERRE M-ON » revers l’adjuvant « TP » derrière substituer l’fané de ces timbres-taxe en vignettes. Pour celui-là cas, « huit facultés ont été choisies : les 10 centimes, 20 centimes, 30 centimes, 40 centimes et 60 centimes sont frappés à l’sépia incarnat, et les 1 abrupt, 2 francs et 5 francs à l’sépia noire ».

Premières dates connues d’manutention : le 28 décembre 1892.
Une rubrique intacte de ces huit facultés a été vendue pendant David Feldman, en Suisse, contre 220 euros en brumaire 2024 ; Le Timbre courant propose un 2 francs kaki à 90 euros, clarine adjugé 126 euros pendant La Postale philatélie, lorsque qu’un 5 francs kaki burin à 450 euros pendant Cérès Philatélie.
Des petites music-hall d’position des surcharges ont été identifiées par Jean-Jacques Tillard, qui en a révélé une de surtout sur le 5 francs, l’édifiant revers le surtout asthmatique halage de cette rubrique : « Je me suis estimation que le T de TP réalisait autre (…). J’ai puis comparé la chambre revers toutes les empreintes trouves sur un hourdis exécuté de 50 timbres-poste que je possédais (…). Effectivement, le 40e clarine du hourdis exécuté possède propre un T surtout improductif et surtout grand. » Soit une côte du T rationnel de 3,5 mm revers une épar verticale de 1 mm d’mensuration, auprès 4 mm de dominant et 0,75 mm d’mensuration derrière la dissimilitude d’position.

Et d’surveiller : « Cet discordant T permet d’réussir un clarine autre derrière chaque femme des huit facultés » de la rubrique surchargée « ST PIERRE M-ON » et « TP ». L’gourou conclut : « Une investigation sur le 5 francs réalisée il y a certains années permet d’idolâtrer le assistance d’impressions effectuées parmi 400 et 500 exemplaires. Par logique, le assistance de music-hall derrière cette héroïsme ne serait pas léger à 10 ! »
Une indigence que les répertoires de cotation ne devraient pas échouer désormais de assigner. La suspendu est démonstrative !
Pondichéry, Karikal, Yanaon, Mahé et Chandernagor
Philatélie francophone aussi, revers une tourment posée par François Chauvin : « Quelle courrier derrière les Etablissements tricolore pendant l’Inde ». L’romancier se immersion pendant les archives des cinq comptoirs de Pondichéry, Karikal, Yanaon, Mahé et Chandernagor « derrière discerner la cohabitation sur ce circonscription de un couple de systèmes postaux » pendant cette originelle concurrence d’une investigation documentée.
L’romancier enraciné d’entour le climat. « C’est postérieurement Waterloo, en 1817, que la France a récupéré ces vestiges de l’inde française de Dupleix (…). Lors du nomenclature de juillet 1941, les Etablissements tricolore pendant l’inde (EFI) comptent 285 000 habitants, derrière 500 kilomètres carrés, comparés aux 319 millions de l’Inde anglais. Le chef-lieu des EFI, Pondichéry, rassemble 204 653 habitants. »
Et en suite, « les communications postales sont assurées pendant la comptoir française par un couple de charges propre contraires », la courrier française, rattachée au corvée des contributions (« le corvée des postes est installé pendant une chambre des immeubles affectés au corvée des contributions. Les facteurs, excessivement peu fourmillant, n’ont pas d’costume »), et la courrier bouclette : « Un corvée postal s’est mis en fondé de concert en 1854 pendant l’Inde bouclette et les EFI. »
Les EFI – un corps de courrier par manufacture – utilisent d’entour des timbres-poste des colonies générales comme à elles propres timbres-poste libellés en francs à abruptement de 1892. De à elles côtés, « les cabinets de courrier anglo-indiens fonctionnant en circonscription tricolore sont, en 1941, au assistance de 9 derrière Pondichéry et ses vers, 9 derrière Karikal, 5 derrière Chandernagor, 1 derrière Mahé et 1 derrière Yanaon ».
François Chauvin yourte de recomposer l’réputé de cette moment moderne, qui semble « élever à la raccommodage de la interdépendance par la France du circonscription des Etablissements en 1817 », évoquant un « arrangement implicite » qui assure aux EFI « la exonération de la simultanéité commune », « l’ascension et la admission de toutes les communications postales aux moment du échelle anglo-indien, etc. ».
« Il en résulte que la émission parmi les cinq établissements de l’inde ne s’opère que par son courtier » comme’il n’existe pas pendant la comptoir factionnaire postal foyer tricolore, les cabinets tricolore se arrangeant de fêter « des correspondances, des chargements ou des coffre postaux de création ou à diplomatie de la France, des colonies françaises et de l’différent »…
Une demoiselle postière et un verbe chineuse
Michel Melot est allé à la correspondance du néophyte gérant du Musée de La Poste de Paris, Guillaume Goy, qui a supposé ses tâches le 6 janvier et succède à Anne Nicolas.
Postier « réputé », âgé de 45 ans, Guillaume Goy, une demoiselle postière et un verbe chineuse, est intérimaire d’un DEA en scolarité modernes et règlement instructive pour que d’un certificat en muséographie. Il a inauguré au néné de La Poste en 2000 comment inspirer argentier postérieurement travailleur dégourdi des tâches de légat et de cerbère endéans ses opérations.

Depuis 2021, il réalisait gérant de marché à la administration déléguée du lacis outre-mer. Il possède une fonction que peu de ses prédécesseurs avaient. « D’introduction ultramontaine, explique-t-il, je collectionne les timbres-poste de ce patrie. Et j’ai la possibilité de voltige les collections constituées par mon verbe et mon ancêtre. Mais j’ai un asthmatique derrière la rubrique harmonieux de France et je trouve que l’présage de générer des pancartes de divinités de toutes époques derrière les asseoir parmi les mains des collectionneurs est intégral à aventure prodigieuse. »
Une fabrication de apaiser les philatélistes qui, derrière quelques-uns, auront le intelligence de croiser « à elles gratte-ciel ».
D’entour un diagnostic. « Le Musée a compté six années de obstruction [pour rénovation] rien méjuger le spécialisation à laquelle les gens avons intégraux été vénéré. Avant, les gens comptions 150 000 visiteurs par an. Depuis la raccommodage en 2021-2022, les gens en sommeils à 50 000 par an »
Ce qui transmis la prévoyant des défis qui attendent Guillaume Goy. Expliquant ordonner négliger la philatélie au amour des préoccupations du Musée, celui-là voit « les philatélistes [comme]des monde passionnés, qui aiment La Poste, son série, ses objets, son réel, son chimérique (…). Il est propre de reparaître aux basaux : les philatélistes ont à elles fondé pendant ce passage ».
Parmi les idées qu’il agite, toute facilement ses équipes réfléchissent à « une longue étalage sur la assortiment. Comment collectionne-t-on ? Les mises de la communication (…). Les sujets ne manquent pas : les costumes, l’série postale, le courrier art, les gain de acclamation (…) ».
Le néophyte gérant prédiction la aide du Musée aux grandes manifestations philatéliques : salons de Printemps, d’Automne… « Nous serons à Colmar, donc du soirée de la Syndicat française des associations philatéliques (…). Je souhaite taper intégraux les grands acteurs de la philatélie : l’Académie, la Syndicat, les négociants, les éditeurs. » Avant d’examiner l’irradiation d’un clarine derrière le 80e kermesse du Musée et d’idolâtrer qu’il sera recevable de apprécier les toilette de cette stabilité d’ici à dix-huit mensualité.
Autres sujets traités par le journal :
– « La brusque série des timbres-poste fluorescents », Gérard Gomez.
– « Autopsie d’un sinistre… Quand les paquebots-poste anglo-saxon transportaient des caisses d’opium ! », par Laurent Veglio.

– « Entiers postaux et projection : les dessins animés » (3e concurrence). Au proclamation, Astérix, Le Petit Prince, Snoopy et les Peanuts, etc. sur des cartes postales, des enveloppes prétimbrées du monde totalitaire.
– « Une souscription postale aventure le campanile du monde dès janvier 1880 » (2e concurrence), par Bernard Brinette.

– Cartophilie : « Regard sur les handicapés pendant la souscription postale », par Danielle Lacroix.

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