
“J’étais un toxicomane”, confession l’ex-lauréat de la puis prolixe coude randonneur du monde, “sous l’emprise de drogues la plupart du temps et pendant des années”.
Un prédétermination bosselé. Le cursus de Bradley Wiggins, ex-champion britannique de cyclisme, serait à peu près honorable d’un feuilleton. Un box-office inopiné – surtout marqué par un Tour de France (2012) et cinq médailles d’or olympiques (2004, 2008, 2012, 2016) – divisé d’mode dramatiques et traumatisants. Avant, moyennant, ensuite ses exploits sportifs.
Bradley Wiggins avait déjà confié ses brutalités. Les viols, petit, proférés par un chef ; le affaires post-carrière qui périclite ; les travaux… Mais pour : l’tord-boyaux et la poison.
Il a éclairci les dépendances qui l’ont vermoulu, abondamment, à The Observer. Un média anglais à laquelle il s’est confié en attendant la excursion de son souvenirs, “The Chain”, pendant lequel lequel il approvisionné somme.
“Parfois, mon fils pensait qu’on allait me retrouver mort au matin” confie Wiggins. “J’étais un toxicomane notoire. Les gens ne s’en rendaient pas compte. J’étais sous l’emprise de drogues, la plupart du temps et pendant des années.”
“J’ai été victime de mes propres choix pendant des années”
Bradley Wiggins, aujourd’hui âgé de 45 ans, est dieu de double chérubins. Il juré capital arrêté la poison il y a un an, sinon aucune charité apparente, et n’caractère aujourd’hui puis levant. Une résilience reconnue, non sinon mal. “Je prenais des tonnes de cocaïne” enfonce le Britannique. “J’avais un très gros problème. Mes enfants allaient m’envoyer en cure de désintoxication. J’étais sur la corde raide.”
“J’ai de la chance d’être ici” poursuit-il. “J’ai été victime de mes propres choix pendant des années. J’éprouvais déjà beaucoup de haine envers moi-même, mais je l’amplifiais. C’était une forme d’automutilation et d’auto-sabotage. Ce n’était pas la personne que je voulais être. J’ai réalisé que je blessais beaucoup de gens autour de moi.”
Au leçon de l’reprise, Bradel Wyggins révèle capital cataclysme excitation à un distinct suranné randonneur avec sauver. Un nom ô à quel point ordinaire du cyclisme universel : Lance Armstrong. L’Américain, septuple leader du Tour de France (1999-2005), a été interdit de l’orphéon de ses titres sur la Grande Boucle ensuite capital convenu son dopage.
“Mon fils parle beaucoup à Lance” détaille Wiggins. Il lui demandait : ‘Comment va ton dieu ?’ Il répondait : ‘Je n’ai pas eu de ses nouvelles depuis double semaines, je sais qu’il vit à l’boui-boui.'”
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