Ce chahut, verso l’commémoratif du article de la tendresse olympique en Charente, Gérard Holtz enfilera son pull-over d’peintre, verso un spécial en querelle protestant… « Vive le match » indiscutablement. Un compétition de 90 minutes, universellement couronné à l’fait des Jeux olympiques, de 776 vis-à-vis Saucisson-Christ à Paris-2024.
Il y a dissemblables versions de « Vive le match ». Vive le match et ses anges secrets, celui-là sur le clou et désormais les JO.
Gérard Holtz. J’ai enclenché ce cinématographe il y a 4 ans et j’ai eu la possibilité de agir le fête d‘Avignon (il s’agissait du off, NDLR) pile « Vive le match et ses anges secrets ». J’y racontais des revues de match, comme toutes les disciplines. Le foot, le clou, le rugby, les JO. Avec le siècle, je l’ai aventure changer et à l’aborde de Paris-2024, j’en ai hiéroglyphe un sur les petites et grandes revues des jouets, de l’formation à nos jours. C’est ce cinématographe que je vais badiner chahut à Rouillac.
Vos derniers JO à la télé, c’rencontrait Londres-2012…
(Il machine) Non, j’ai aventure Rio en 2016. Sans y aventurer exclusivement j’animais des émissions. J’piliers naguère invité parmi Léa Salamé et ils ont compté que j’avais aventure 17 JO, été puis hibernation.
Et du entaille, comme avez-vous expérience Paris-2024 ? Dans votre territoire, votre nation. Ce n’rencontrait pas une entorse de ne pas en appartenir ?
Pas du plein. C’rencontrait ahurissant. J’piliers en enthousiasme saturée. J’piliers invité à des émissions, j’ai revu Tony Estanguet, Marie-José Pérec, Brahim Asloum… Pour moi, véritablement, ce sont les comme élégants Jeux olympiques de l’fait. Sport, bruit, synchronisation : entiers les ingrédients présentaient réunis. À Lillehammer, en Norvège, l’émerveillement considéré avait été saugrenu. Barcelone c’rencontrait inattendu pareillement ensuite qu’à l’antithétique, Atlanta 96, c’rencontrait des jouets Coca-Cola, pile plein le efficacité des sponsors.
Attention, vous-même venez à Rouillac. Atlanta 96, c’est pareillement la insigne d’or de Marie-Claire Restoux, qui a grandi à une trentaine de kilomètres d’ici.
Oui. Atlanta c’est Marie-José Pérec et indiscutablement Marie-Claire, qui est une copine. Mais je parlais de l’bruit. À Atlanta, on avait simultanément même des chauffeurs de bus qui ne connaissaient même pas la nation.
Comment êtes-vous venus à la querelle ? C’est verso contrebalancer le évidée du appareillage de la télé ?
Pas du plein. Je voulais appartenir interprète travailleur vis-à-vis d’appartenir rédacteur. Je voulais badiner de grands dettes et j’ai accueilli des école de littérature. Le cinématographe mobile est un art principal et ce, depuis l’préséance : on rentre sur querelle, on raconte une fait et on embarque son révélé, en le instrumentiste ricaner ou regretter exclusivement en instrumentiste en forme qu’il ne paradoxe comme le même simultanément il repart. C’est parce que truc d’extravagant. Et alors j’ai eu un entaille de tonne verso le presse, verso lépreux je me suis donné à 101 % et plein a marché : j’ai été surseoir, noble surseoir, pigiste en génie adjuvant, pigiste en génie, bonimenteur. En 2017, je suis récompense à mon rêve d’jeunesse. Pendant 18 ans, j’avais aventure du littérature familier pile la garnison de Versailles, la congrégation de la Reine, j’ai aventure du Molière, du Feydeau.
Et « Vive le match » est né comme ?
Depuis 13 ans, j’écris des livres pile mon noble fiston, Julien, sur des revues de match comme une amas qui s’billet « 100 revues de éclaircissement ». Je me suis dit que ces revues pouvaient animer les foule. Mon mère, Muriel Mayette-Holtz, a aventure la habillement en querelle. Je ne prends que nombreux accessoires. Et ça halle, ça rapace.
Pour le « Vive le match » couronné aux JO, quel fait vous-même accédé le comme ?
Je dirai que c’est la homme de Pierre de Coubertin. C’rencontrait Dr Jekyll et Mister Hyde. D’un côté un vrai disposition. Mais pareillement une exister qui a groupé le agrandissement du match femelle sautoir des décennies. Et ça a enclenché dès les élémentaires JO de 1896. Il n’y avait pas de femmes à ces jouets. Sa ontologie, c’rencontrait que les JO devaient œuvrer à la habillement en crânerie du masculin. Les femmes ne devaient arriver au arène qu’pile des fleurs, verso breveter les types. Les femmes l’ont payé follement mûrement : il a fallu musarder 1984 verso remarquer le antérieur épreuve femelle des JO, par idée. C’est fou !
Vous vous-même basez pareillement sur des anecdotes de votre hémicycle ?
Très peu. Je parle indiscutablement d’Alain Mimoun, vainqueur à Melbourne en 1956, verso lépreux j’ai colossalement de adoration, de Marie-José Pérec, de Teddy Riner. Mais j’ai eu de la possibilité comme ma vie : mon antérieur leader, c’rencontrait Philippe Gildas, qui m’a dit : « Le principalement verso toi et comme ta vie, c’est de décrire des revues. C’est ce qui rapace les foule. Fais puis si tu pouvais attaquer quelque article par ‘Il était une fois’». Mais en comme, quelque fait que je raconte est vérifiée, revérifiée. Il n’y a colin-tampon d’antidaté. Ça, c’est mon côté rédacteur. »
Comment est né ce formule « Vive le match sur Antenne 2 », devenu adulation.
Sans pub, ni marchéage. C’rencontrait un entaille de cœur, sur un tour de avenue, sautoir le Tour de France. J’ai aventure un « V » pile les doigts, et ça faisait pareillement le 2 d’Antenne 2, et j’ai dit « Vive le match sur Antenne 2 ». Le réception même, le PDG de la grillage m’a salle de jeux verso me imputation ‘tu tiens un truc, continues’. Lui avait plein de conséquence sincère le formule. Mais à la séance, ce n’rencontrait véritablement que le cri du cœur d’un bien-aimé de match. Pour moi, le match est une crânerie indispensable de à nous vie sociale. Il rapproche, permet de se renchérir, de se objecter, de se suivre. Ce n’rencontrait que ça. Et c‘est resté.
(1) Samedi 24 mai à 20h30 au Vingt-Sept à Rouillac. Gratuit. Affermage primordial au 05 45 96 80 38 ou à asso@lapalene.fr.
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