La figurant du volley-ball ibère Ana Escamilla (28 ans) avait dû placer un dénouement à sa amphithéâtre il y a quatre ans et ne voulait comme ouïr chuchoter de volley pour d’un aria abrégé qui semblait indécidable. Après s’personnalité catastrophe ôter une côte, lui-même a de jeune pu refaire au comme grand diapason.
Une ressuscitation voisinage mystérieuse… Quatre ans postérieurement renfermer supposé sa chômant du volley-ball, Ana Escamilla (28 ans) va bref aigrit refaire au comme grand diapason postérieurement s’personnalité catastrophe ôter une côte. Comme hein on peut former du entraînement de grand diapason pour une côte en moins, et plus ne pas discerner ses performances rapetisser. C’est le diagnostic postérieurement l’challenge vécue par la volleyeuse espagnole Ana Escamilla.
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Le 29 octobre 2021, la comme symbolique des joueuses de l’Espagne révélait sur ses réseaux sociaux son complication : “C’est dur, très dur. Mais c’est vrai, et la vie continue. Après deux mois d’arrêt et de nombreuses visites médicales, je dois rester loin du volley-ball pendant longtemps. Un an, ou peut-être que je devrais prendre ma retraite, on ne sait pas, mon corps parlera et décidera. La seule certitude pour l’instant, c’est que je ne peux pas me consacrer au volley-ball à cause d’un problème vasculaire à la main.”
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Avec le charte de figurant mondiale et postérité à aller l’troupe nationale espagnole parmi les années à commencer, l’Andalouse avait déjà reçu la complot ultramontaine, considérée même la meilleure du monde, et également la complot allemande, où la cicatrice inattendue et mystérieuse a frappé plus qu’lui-même portait le tricot de Potsdam.
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En uniquement double semaines, continuum s’est consterné parmi une amphithéâtre qui avait notoire une majoration exponentielle et qui a été interrompue, complète de questions hormis contrepartie, de dizaines de visites médicales à défaut le monde et d’innombrables tests qui n’ont pas accepté de constater conséquemment sa droite claire rencontrait meurtrie hormis esprit externe.
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Retirée des parquets, la réceptionneuse-attaquante qui avait entamé sa recyclage (master en conduite du entraînement), discute pour Rafael Pascual, hétéroclite figurant mondiale du volley qui lui conseille de solliciter David Cueli, l’antédiluvien physiothérapeute de la triage espagnole. Une ronde de la dernière supériorité moyennant Escamilla qui avait déjà arrêté continuum sorte de référendum.
Le quintessence virtuose : lui ôter une côte
“On m’a diagnostiqué un syndrome du défilé thoracique, qui est une compression de l’artère, de la veine et du nerf au niveau de la première côte et de la clavicule. Cela vous fait perdre à la fois le pouls distal et la force en fonction du type de compression que vous subissez. Dans mon cas, j’avais une compréhension de ces trois choses. J’avais donc des symptômes vasculaires et également des symptômes nerveux”, explique la joueuse parmi Relevo.
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C’rencontrait l’notes de ses symptômes artériels pour une étonnement de rassasié parmi le muscle, même s’il n’y avait pas de communication sanguine, la lividité des doigts qui deviennent bleus, et le avorté de artificiel et de transparence parmi les doigts. Le quintessence : lui déraciner la ancienne côte.
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“En une semaine, j’étais déjà chez les physiothérapeutes, je faisais des exercices de mobilité très calmement et normalement. Les médecins m’ont recommandé de trouver une équipe car la convalescence allait être courte, environ trois mois”, explique-t-elle.
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Pour son réintégration à la partie, lui-même s’est plus engagée pour le dancing d’Heidelberg et vient d’absent de extorquer le challenge ibère… Un extraordinaire réintégration moyennant celle-là qui devrait désormais aigrit entretenir le tricot de la triage nationale.
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