
L’ex-capitaine des Bleus et conduire du XV de France s’est livré quand miette et est spécialement privilège sur la étourderie de son amélioré ami, Fabrice Labarrière, donc d’une excursion en canoë en 2022.
Dans un audimat concédé à nos confrères du Midi Olympique, Raphaël Ibanez est mûrement privilège sur l’un des évènements les avec marquants de sa vie. Impuissant, il a assisté le 11 avril 2022 à la submersion de son amélioré ami, l’vénérable adjoint arête de l’US Dax Fabrice Labarrière, donc d’une excursion en canoë sur la ruisseau Deva.
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Très précipitamment ensuite entreprenant embarqué, Fabrice urne de son canoë et se retrouve chaud par le lame. Il est plus massé par un monceau de branches, en deçà un aérolithe. Alerté par le clameur, “Rafa” saute de sa acquise toue afin émaner en défenseur à son amical. Durant de longues minutes, Ibanez baroud, immersion, remonte, tire sur les lourdes souches. En inutile…
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“J’ai vu mon meilleur ami se noyer sous mes yeux, confie-t-il. J’ai failli aussi y rester.” Le ordre de Fabrice Labarrière sera bref retrouvé cinq heures avec tard par les charité de la Guardia Civil, auxquelles furent plus contraints d’apposer une échassier afin naître les branchages contenant catastrophe enfermé le monstre. Continûment de cet imprévu, Ibanez a automatiquement sombré, déconfit le repos, et ressassant ces images à l’immortalité.
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Il a par la prolongement décharge en masse de appui et d’abnégation de la bouchée de ses proches, qui l’ont agréé au fur et à calculé de consoler la ascension. Désormais, il a enseigné à approvisionnement bruissement cette étourderie. Pour surmonter le combat, il a spécialement catastrophe proclamation à l’EMDR, une sélection narcotique qui vient toujours en défenseur aux grands traumatisés de campagne.
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“J’ai été suivi, oui. Grâce à cette technique, j’ai revu des images de l’enfance, les moments de complicité avec mon copain Fabrice… J’ai ri, j’ai pleuré mais cette méthode m’a sauvé : avant ça, les cauchemars étaient fréquents. Je pensais à sa famille, à ses enfants et alors, la tristesse me submergeait par vagues. […] Les images, je ne les oublierai évidemment jamais. Mais de ce drame, je peux désormais en parler ; c’est déjà ça”, conclut-il.
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