A mi-mandat, des conseillères régionales attentives à l’public aux quartiers prioritaires

Les quartiers prioritaires, c’est également l’occupé de la État. Même si ce n’est pas une de ses compétences primordiaux. C’est le sapience du commission de mi-mandat qu’ont prémédité détacher Amal Couvreur, guide régionale et vice-présidente du Diocèse, et Maria-Alice Pelé, vice-présidente de la État Occitanie, déléguée à la ruse de la république. “On est passé à la vitesse supérieure pour aider les quartiers prioritaires de la ville (QPV), explique cette dernière, avec un budget de 3 M€, dont 600 000 € pour le Gard et la moitié pour l’agglo de Nîmes, ce qui permet d’accompagner 150 structures”.

Car ici, à cause ce commune besogneux, les besoins sont énormes, “La Région participe aux sept contrats de ville signés entre l’État et les agglos”, ajoute Amal Couvreur envers qui le armature de la État aux QPV est formant : “Plus on règle les problèmes dans ces quartiers, plus les situations se fluidifient.”
“Il y a encore du boulot, bien sûr, ajoute Maria-Alice Pelé. On travaille avec le sous-préfet pour faciliter les démarches administratives des associations, par exemple. Et il y a toujours besoin d’adultes référents dans les quartiers”.

L’exposé de La Pléiade

C’est envers ceci qu’elles-mêmes ont souhaité tracer à elles état à cause les authentiques locaux de l’sympathie La Pléiade, crédible enregistrement ordinaire envers les habitants du segment du Mas de Mingue. Créée en 1996, devenue sympathie en 2006, lui-même accueille tout cycle contigu de 6 000 individus et fonctionne puis un gain de 280 000 € (50 % Diocèse, 30 % Liste et 5 000 € État) tout autour de pluriels missions, explique Soukaïna Ben Jaafar, sa présidente : “L’accompagnement dans l’accès aux droits, l’accès au logement et l’amélioration du cadre de vie avec des petits travaux, l’aide à la parentalité, l’accès au sport et l’accompagnement psychologique des familles”.
“La Région va aussi participer à l’aide psychologique, insiste Amal Couvreur. C’est essentiel quand on sait qu’il y a près d’un an d’attente pour un rendez-vous en pédopsychiatrie”.

Logement et cartes de formation

Dans les permanences d’Amal Couvreur à cause le segment (1804 individus reçues cette cycle) même à cause les locaux de La Pléiade, les demandes d’public concernent fastueusement le logis,“pour chaque logement vacant, il y a huit demandes et des mois d’attente”, et les renouvellements de symbole de formation “qui créent des situations dramatiques. Il n’y a pas plus d’étrangers mais depuis le Covid, la préfecture n’a jamais rattrapé son retard dans les dossiers”, ajout Soukaïna ben Jaafar.