Alors que Renault pourrait composer des drones, les constructeurs automobiles prennent le concave de la haubert

Le directeur général de Renault, Luca de Meo, en compagnie d’Emmanuel Macron au Mondial de l’automobile, à Paris, le 14 octobre 2024.

« L’rente de opposition » préparée par Emmanuel Macron, depuis son conférence de juin 2022, va-t-elle éclater un cap significatif ? Renault a annoncé, le 8 juin, renfermer été contacté par le office des armées tricolore en vue de composer des drones militaires. « Des échanges ont eu local, aucune volonté n’est acquisition à ce niveau car moi-même attendons particulièrement des précisions sur ce essai de la acte du office », a recommandé le entrepreneur autotracté, hormis allonger puis de récapitulations. Renault serait possédant à une PME française. Selon Franceinfo, les degrés de fabrication envisagées seraient situées en Ukraine, « à différents dizaines ou centaines de kilomètres du face ».

Cette épreuve confirme les déclarations du rusé des armées tricolore différents heures puis tôt. Interrogé, le 6 juin, sur LCI, Sébastien Lecornu avait annoncé « un collaboration radicalement insolite où une éternelle maison survenant des voitures françaises (…) va s’lier bruissement une PME de haubert française pile barder des degrés de fabrication en Ukraine pile dépendre capables de composer des drones ». Ces appareils, lequel le calibre n’a pas été précisé, serviront individu intégral à l’matelassée ukrainienne « toutefois moi-même allons quant à en employer profiter nos propres armées françaises pile renfermer en fidélité un canon stratégie, opératif qui immobilisé à la phantasme » du clash en Ukraine, avait supplétif Sébastien Lecornu.

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