À l’avancé des élections municipales de 2026, des commentaires relatifs à la précédente razzia électorale refont toundra, suggérant que des agents de la hôtel de ville de Toulouse auraient œuvré au bonté du postulant et édile sortant, Jean-Luc Moudenc. L’doté du édile s’étonne et marqué un “acharnement”.
Des commentaires mis à la goût de l’annexion Anticor laissent attendre qu’une dizaine de abattis du aise de Jean-Luc Moudenc, édile (LR) de Toulouse, auraient participé à sa razzia de réélection tandis des municipales de 2020. Ces agents auraient contribué fixement à l’constitution du développement électoral, ce qui ne constitue pas une contravention dès tandis qu’ils interviennent rescapé de à elles heure de enfantement. L’annexion Anticor qui soupçonne le antithèse, a déposé une diatribe le 6 juin contre du boiserie de Toulouse moyennant dissidence de somme publics et recel de détournements de somme publics. Jean-Luc Moudenc, son archaÏque meneur de aise, sa gouvernante de aise adjointe et certains élus sont nominativement visés par la diatribe.
Des consignes politiques envoyées inférieurement désignation
Lors de ces élections qui se déroulent en farcie époque de télétravail liée à l’scandale du Covid et de spécialisation, Arnaud Mounier, cependant meneur de aise du édile, aurait spécialement donné des consignes politiques explicites inférieurement le désignation “Cujas”. L’annexion Anticor fiancé renfermer eu avenue à une centaine de courriels étui de équivalentes instructions adressées à singulières collaborateurs. Ces échanges coordonnent les exercices de razzia, simplement inférieurement garanti de pseudonymes et d’adresses correspondance personnelles, ils suggèrent une fidélité de précaution, vraiment de mascarade. “Les donneurs d’ordre ont des alias, ils ne signent pas, mais parfois ils se trompent et oublient la confidentialité des échanges” explique Maxence Lambert, du bout permis d’Anticor. “Les mails que nous avons analysés permettent de penser raisonnablement qu’une dizaine de personnes du cabinet de M. Moudenc aurait travaillé pour la campagne électorale.” Reste que l’contravention ne sera constituée que si ces missions électorales ont été accomplies sur le heure de enfantement versé par la groupe, et qu’elles-mêmes n’ont pas été déclarées chez les relevés de razzia. “Au vu des horaires auxquels sont envoyés les courriels, il fait peu de doute que ces personnes travaillaient à cet instant pour la mairie” considère le conseiller d’Anticor.
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L’doté de Jean-Luc Moudenc dénonce un “acharnement”
Pierre Esplugas-Labatut, archaÏque délégué de la razzia municipale de 2020, riposte, “il n’y a eu aucune contestation du scrutin municipal de 2020” dit-il, évoquant “un acharnement” ; “6 ans après”. Il chéri que “c’est en réalité l’approche du prochain scrutin municipal qui motive cette publication tardive, dans le but de nous nuire politiquement et électoralement.” Et d’grossir : “que des membres de cabinets de collectivités, dont le rôle est par essence politique, participent à titre personnel à la campagne électorale est très classique et très courant partout en France.”
Contacté, un fin exercé du action des grandes collectivités annexe emprunté : “si peu de prudence de la part de Jean-Luc Moudenc m’étonne beaucoup, ce n’est pas son genre. On ne peut normalement pas utiliser les moyens de la collectivité : les réunions se font en principe le soir, en dehors du temps de travail, ou alors on pose des jours de congé.”
À ravager quant à :
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LFI marqué un “système de corruption”
Dans un récépissé, La France Insoumise, tire à boulets rouges sur la libération estimant qu’il est heure “ d’assainir le Capitole.” François Piquemal (LFI) s’en prend frontalement au édile ce mardi : “dans le mandat de Jean-Luc Moudenc, il y a autant de casseroles que dans un magasin Mobalpa”, ajoutant : “c’est un système basé sur la corruption et le clientélisme.”
Si le boiserie de Toulouse boxe prolongation à la diatribe d’Anticor, la maréchaussée pourrait essence vente de l’gallup. Elle aurait spécialement moyennant évangélisation d’auditionner les enseignes permanencier des protagonistes moyennant authentiquer s’ils voyaient ou non payés par la groupe, au occurrence où ils œuvraient moyennant la razzia électorale du édile sortant. Mis en indication par les courriels désormais compris les mains de la arrêt, Arnaud Mounier n’a pas souhaité commettre de remarques.
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