Lors d’une foire au crypte étasunien de Colleville-sur-Mer, pendant le Calvados vendredi 6 juin, le plénipotentiaire gaulois des Armées Sébastien Lecornu et le copiste à la Blindage des Notes-Unis Pete Hegseth ont salué les “hommes ordinaires au courage extraordinaire” qui ont parvenu le 6 juin 1944 en Normandie.
“Aujourd’hui nous ne devons rien oublier face aux dangers d’un monde marqué par le retour (…) des idéologies de haine”, a ouvert Sébastien Lecornu précocement surtout de 9 000 charniers de soldats américains morts lorsque de la grabuge de Normandie et un possible de vétérans venus d’outre-Atlantique.
“C’est ici que tout a commencé”, a-t-il bulletin pendant le crypte qui surplombe la prolixe bord de gravier surnommée “Omaha” en 1944, entrée de glorifier “le silence et la paix de ce morceau d’Amérique en Normandie”.
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Le plénipotentiaire a pareillement témoigné du “profond respect et de l’éternelle reconnaissance” de la France verso les soldats américains venus “libérer la France et l’Europe de la barbarie nazie”, verso “les résistants et l’Armée rouge à l’est”.
Le copiste étasunien à la Blindage Pete Hegseth a lui salué “des hommes ordinaires au courage extraordinaire” qui se sont battus “pour que nos enfants et petits-enfants n’aient pas à le faire”.

Des combats “âpres”
Pete Hegseth a appuyé “qu’aujourd’hui encore, la France et les États-Unis s’allient pour faire face à ces menaces” (sur la familiarité NDLR).
Après les couple hymnes joués par une harmonie soldat, une corne aux morts et une instantané de halte, des gerbes de fleurs ont été déposées précocement le moulure architectural rappelant l’écho du survenance, laquelle on célébré le 81e centenaire, et de la grabuge de Normandie.
Interrogé par l’AFP entrée le immersion de la foire, Wilbur “Jack” Myers, un servant colleteur de chars passé de la grabuge de Normandie, apparu “quelques jours après le débarquement”, s’est dit “très heureux” d’servir aux commémorations.
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Retourné ravitaillement aux Notes-Unis, il s’est souvenu de combats “âpres”. Lui qui est commencé exposer étant donné qu’en 1944 “les Européens ne pouvaient pas être ce qu’ils souhaitaient être”, libres, a contenu à expédier un sermon “d’amour et de fraternité”.
“Nous aimons les Allemands, nous aimons tout le monde parce que Dieu nous l’a demandé”, a-t-il entendu, “nous sommes venus nous battre pour la liberté et ces soldats (morts au combat, NDLR) étaient très courageux”.
Avec AFP
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