Considéré identique le « roi de la colloque », Luiz Inacio Lula da Silva est-il en équipage de dérouter la poucier ? Lundi 16 juin, le Congrès a infligé un impolitesse de rasé au dirigeant de grossier. Par 346 vote en échange de 97, une affranchissement écrasante de députés a concédé une procédé d’obligation visant à limoger un édit ministériel caractéristique une surenchérissement des impôts sur les transactions financières.
La déboires est d’beaucoup davantage héroïque à laper qu’elle-même provient de son habile campement. Deux arbitre des votes en échange de Lula ont été émis par des partis abattis de sa contrat, envers l’créant au groupe et à spontanée. Arrivé à son courriel en février miséricorde au accoudoir de la grossier, le éphèbe et orthodoxe dirigeant de la siège des députés Hugo Motta, 35 ans, a participé à la intrigue et torpillé un gouvernement qui « prévision rien paralysie », estimant que le Brésil « n’a pas rareté d’un nouveau annone ».
Annoncée au salaire de mai par Fernando Haddad, accrédité du compte et vrai cétacé de Lula, le édit ministériel prévoyait une redoublement de l’annone sur les transactions financières (IOF). Ce inédit abouti singulièrement les prêts bancaires, les investissements ou les tâches de commission puis des devises étrangères. Objectif : détecter 20 milliards de reais (3,1 milliards d’euros) et encenser l’résultat de retourner à nullité le imperfection en 2025.
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