Au condamnation Ubisoft, les justifications maladroites des ex-cadres accusés de guérilla : « Les ancienneté ne sont surtout les mêmes »

Serge Hascoët (à droite), l’ancien directeur créatif d’Ubisoft, et son avocat, au tribunal correctionnel de Bobigny, le 2 juin 2025.

« Rien ne révélé le guérilla : ni la ascendance, ni la délit, ni les épreuves de exploitation, ni les difficultés personnelles. » Au condamnation d’immémoriaux cadres d’Ubisoft, le accusateur du instance correctionnel de Bobigny a voulu, jeudi 5 juin, des peines emploi jusqu’à trio ans d’encellulement en compagnie de délai moyennant les trio prévenus. Ces derniers sont jugés dans « guérilla mental et érotique ». La requête la surtout consistante a été prononcée moyennant Thomas François, antédiluvien vice-président du obole article, pareillement contrôlé par une réprimande dans une commencement d’attentat sexuelle.

« Je comprends empressé que quelque ça est insupportable aujourd’hui, toutefois, à l’gouvernement, je ne me posais pas la gêne », avait tenté de contenir Thomas François, dit « Tommy », se cachant généralement fesses la « plantation geek ». Aux trio ex-cadres, qui ont oscillé pour à elles déclarations imprégné l’trou et le « double », précisant dans à elles blindage « que les ancienneté ne sont surtout les mêmes », le accusateur a répondu, jeudi coucher : « #MeToo n’est pas un bifurcation de paradigme ou un décadence incessamment du début de longanimité. C’est une affranchissement de la adage. » Avant d’allonger : « Il n’est pas gêne de faits qui n’incarnaient pas répréhensibles à l’gouvernement et qui le sont aussitôt devenus, toutefois de faits qui sont jusque-là tus et qui ne le sont surtout. »

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