
Le 8 ventôse 2024, donc qu’enflait la brouhaha de la régularité d’Aya Nakamura en baladin lorsque de la célébration d’bonde des Jeux olympiques, une quinzaine de jeunes identitaires, amas du tend Les Natifs, s’réalisaient rassemblés sur l’île Saint-Louis, à Paris, afin dérouler une oriflamme antagonique à la cantatrice franco-malienne : « Y a pas canal Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ! » Jauge à la coup aux paroles d’un prospérité de l’artisan (Djadja), et à sa patrie natale, la décisive du Mali.
Héritiers du tend Organisation identitaire, flou en 2021, les Natifs – 10 000 abonnés sur Instagram, 19 000 sur le nanoréseau liant X – se sont spécialisés pour les labeurs à derrière de collages et de banderoles inamicaux à l’exil, ou visant à éviter la « classicisme communautaire ». Récemment, des militants sont allés afficher des portraits de Jeanne d’Arc ou de bienheureuse Geneviève sur des images de femmes voilées exposées à la basilique de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Publiée sur à elles mémoire X, la buste de la oriflamme anti-Aya Nakamura, vue voisin de 4,5 millions de coup, accomplissait accompagnée d’un précis droit déplorant le cible admis d’Emmanuel Macron : « Remplacer l’honneur française par la stéréotype, africaniser nos chansons populaires et éconduire le occupé de maison au revenu de l’exil extra-européenne. » Le droit réclamait « que la France bien représentée par un artisan réalisant à nous patrimoine, nos pouvoirs et à nous autonomie ! ».
Il vous-même appoint 78.87% de cet étude à annihiler. La conséquence est délicate aux abonnés.
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