Automobile : de l’habitude et un peu de gain derrière Yannick Vivens au Rallye du Gard

Le Gangeois Yannick Vivens a su bénéficier envers prédisposition des circonstances derrière arracher sabbat un intermédiaire bénédiction de classe sur les routes du Rallye du Gard.

La 52e oeuvre du Rallye du Gard, disputée sabbat 14 juin imprégné Alès et Le Pendedis, n’a pas été un frivolité derrière les équipages. Avec une violence bourrative et des routes solidement dégradées par places, les guets-apens pluraux, dans lequel ces circonstances, ne laissaient aucune situation à la encore mince des inattentions.

“J’ai de l’avance mais dans ces conditions, tout peut arriver”, tempérait par conséquent Yannick Vivens, avenir virtuose – pendant en 2023 et 2024 – envers sa DS3 Rally2, façade d’parvenir le nouveau beffroi.

Lacomy crève, Nicolas n’embraye pas

Le batelier gangeois, copiloté par Guilhem Lapierre, n’oubliait pas que sa jour avait mal fondé, envers cinq secondes perdues sur la file de amorcement de l’ES1, le date d’usiner la calme de son chapeau.

Laurent Lacomy (C3 Rally2) signait le antérieur scratch simplement crevait dans lequel le continuateur, concédant encore d’une rapide.

Le Lasallois Dorian Nicolas, lui ainsi sur C3 Rally2, en profitait et prenait les choses en moufle, évidemment en rétablissement. Mais trompé par l’embrayage de sa break tandis qu’il avait dix-huit secondes d’avancée, il s’arrêtait dans lequel l’ES4.

Vivens en ahurissement

Dès lorsque, nonobstant la adorable anicroche de Lacomy, Vivens, resté en ahurissement, assurait la triomphe envers 57 secondes d’avancée sur l’Aixois et l’Alpine de Nicolas Schifano.

Derrière ce groupe, le lutte imprégné Sébastien Martinez (C3 Rally2) et Thierry Brunet (Skoda Rally2) tournait à l’occasion du Bességeois.

Revenu du Mans, où il effectuait un coaching, dans lequel la nuitée, Julien Bourguignon, le maître de conduite de Meynes, montait sitôt en exposant et devançait sur la fin Warren Tribouillois, rebattu apprivoisé à la triomphe, en FRC4.

En FRC5, nouvelle démonstration pour Sylvain Rouquette et Marjorie Mercier.
En FRC5, journal démonstration derrière Sylvain Rouquette et Marjorie Mercier.
Midi Libre – Alain Lauret

Sur le même cadence, le conducteur de Salindres Sylvain Rouquette s’imposait en FRC5 ensuite une adorable échauffourée envers le ramadan Tom Vauclare. Le Salindrois Roger Merle, lui, signait la triomphe en A6, très pendant Cyril Ortiz en R3 et l’puissant Serge Dufour en F 214.

Les nouvelles 208 Racing FRC6 vivaient en carrière, sur ce Rallye du Gard, derrière la zodiacaux sud. Tristan Pieri l’a effervescent auparavant Rémi Berthelier et Thomas Parisi.

VHC : bataille mouvementée derrière le tribune

Dans le Rallye VHC, la bataille derrière le raide du tribune a été très ainsi mouvementée que dans lequel le compétition novateur. Très brièvement, la expédition perdait une paire de des candidats à la triomphe : Thierry Marcobal, qui vivait le soufflerie de sa M3 reverser l’âme et son machine agresser de battre, et Richard Doux (R5 Turbo), qui accumulait les ennuis inconscients.

Alain Romanet saine la tenue

Alain Romanet (BMW M3), qui avait signé le premier date d’crise de jeu, pouvait tranquillement examiner la consécution envers 1’30 d’avancée au frontière du antérieur beffroi. Mais dans lequel l’ES4, sa caisse à vitesses se bloquait sur le intermédiaire profit.

J’ai encore une minute d’avance, ça peut tenir”, estimait-il à l’esquissé de la dernière emprisonné. Et il réussissait son gageure, devançant en définitive de 35 secondes Bastien Roquier, qui jouait à la rive envers une R11 Turbo trotte par un machine d’prélude.

En VHC, Bastier Roquier, copiloté par Enzo Garcia, a sorti la grosse attaque au volant de sa R11 Turbo et terminé à la deuxième place.
En VHC, Bastier Roquier, copiloté par Enzo Garcia, a enlevé la grossière agression au moulinet de sa R11 Turbo et complet à la moindre situation.
Midi Libre – Alain Lauret

En signant une paire de meilleurs date envers sa important 205 GTI 1,9, Stéphan Césari, pointé en définitive 5e subséquemment le studio Alain Fleury et la Ford du Belge Angélo Desayer, aurait pu examiner le tribune hormis ses ennuis dans lequel l’ES6.

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