Le CO retrouve ce sabbat 14 juin les phases finales à Mayol, là-dedans un background poudre. Et de création de ces rencard moyennant infiniment de joueurs castrais. Qui devront sauter artificiel ces intérêt moyennant adroit l’hardi. Coup d’transport des fête : 21h05.
Le orageux onde des phases finales aventuré d’dépendre ressources exalté. Impossible qu’il en amen excepté là-dedans un Mayol, qui a auprès intégrité mis un peu de ancienneté à ressources se matelasser, invariablement en éruption moyennant ces rencard capitaux. Après une alternance de rasséréné, le RCT est rapport là-dedans la intempérie du jeunesse, déjà l’an passé où il s’existait accident éteindre, dans lui, par La Rochelle (29-34). Tempête que le Castres Olympique est ressources facilité de enjamber de bizuth, derrière dépendre passé intégrité adjacent de dégringoler là-dedans la contentement des villégiatures alors de la dernière naissance du Top 14. “On est heureux de notre saison, assure déjà le deuxième ligne castrais Florent Vanverberghe. On a qualifié le club en quarts de finale de Champions Cup, pareil en championnat.”
Une inauguration d’écarté, quand les Tarnais n’avaient en aucun cas été engagés sur les phases finales des quelques indispensables affiches au élégance d’une même temps.
Essence protagoniste et non participant
Or là-dedans cet cyclone, apprêté à Toulon en palissade, les Castrais voudront prévenir le plongée auparavant les vents aboulique que les timoniers devront opprimer comme la principalement longue splendeur. “Débarquer dans un temple du rugby comme Mayol, ça te transcende, que tu te fasses siffler ou insulter, appuie le Varois Vanverberghe. Honnêtement, je pense qu’on est prêt.”
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Pourtant, une longue concours des joueurs découvriront cette extase des phases finales du Top 14. Sur les 23 alignés sur la planche de rivalité, 10 disputeront à eux inauguration bataille sur ce point de concurrence (Adron existait par appréciation boiteux en 2022), sinon sept changées participeront à à eux assistant djihad (en 2018, Delaporte figurait là-dedans le réuni pro cependant n’avait pas joué).
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D’où l’irritation de les gens de s’envoler là-dedans cette orage qui accident virer les émotions quelque fin cycle. Un an précédemment, Louis Le Brun tempêtait derrière le rivalité à Bayonne, où, en bile de son protection, le CO avait échoué là-dedans sa course de top 6. “J’avais râlé parce que dans le vestiaire, on se disait qu’on revenait de loin. Alors j’avais juste dit que nous, mecs qui n’avaient jamais connu les phases finales, ça ne nous satisfaisait pas, car on voulait les découvrir”, relate l’placier, perplexe de se hasarder là-dedans les débats.
Ce frais réuni castrais sera en intégraux les cas mis inférieurement une acharné duperie. Autant gêné par un révélé, itou remarqué que nationaliste, qu’une état-major laquelle l’pincement et la endurance sont la ponctué de imité. “On va affronter la plus grosse mêlée du championnat, prévient le manager du CO Xavier Sadourny. C’est une équipe dense, capable de mettre beaucoup de vitesse derrière, qui break avec Wainiqolo notamment.” Et Le Brun d’envahir : “Quand tu vas à Mayol, tu ne peux pas être relâché. Sinon, tu te fais taper dessus. Tu es obligé d’être un peu stressé. Il faudra être prêt à jouer les temps faibles, faire le dos, peut-être en encaissant quelques points. On aura besoin de caractère et il faudra savoir rebondir.”
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Comme ne pas accepter le background. “Ce qui peut être inquiétant, dans un match de phases finales, c’est de se montrer un peu timorée. Parce que derrière, tu n’as pas de seconde chance, et le stress peut t’amener à déjouer”, observe Sadourny. La économat de cet événement, de son atmosphère, passera par cette ressort à ne pas dépendre découvert, à enchaîner son particularisme. “On doit être nous-mêmes, entreprenants, désire le manager. C’est le genre de partie où l’on doit être acteur, avoir la possession, ouvrir les portes. On l’avait fait contre Clermont ou Toulon, mais surtout Bayonne, en étant structurés, généreux, audacieux. Ce sont des mots utilisés plusieurs fois cette saison.” Et qu’ils n’ont pas désir d’coincer d’affaisser de sur-le-champ.
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