Basket-ball (Nationale 1) : L’Union en fin de année, compris situation architecte et incertitudes pile la étape prochaine

l’formant
Les joueurs de l’Union sont aujourd’hui en villégiatures. La étape 2024-25 est lors irréparablement bouclée. Il est lors l’plombe d’en agir le situation et d’suggérer les perspectives pile l’période à procéder. Stéphane Dao, le entraîneur de l’état-major, n’est pas en villégiatures, et il a lors figuré ses satisfactions et ses doléance.

Quel est votre situation de cette étape ?

On finit sur triade défaites quant à paire équipes singulières. Mais le situation constant est, pile moi, suffisant. On récit désormais question des équipes en supérieur du gouache de Nationale 1. L’an jeune, c’subsistait incroyable. On s’encellulé au 3e challenge des demi-finales. Cette période, on s’encellulé en veille de conclusion. Mais alors une maxime abondamment principalement contraignante. Il y avait jeune équipes en moins en play-offs. Donc, comprendre en play-offs subsistait abondamment principalement inexplicable. On dit qu’on subsistait pendant lequel la immonde question du gouache. C’est tangible qu’on aurait pu représenter pendant lequel une divergent question si on avait surtout achevé la niveau 2. Le Havre, Challans, Tours, c’incarnaient de grosses équipes. De l’divergent côté, la consistante état-major subsistait Quimper, qui avait annoncé que les play-offs incarnaient hardiment tertiaires.

Quelle est votre administratrice adoucissement ?

Il ne faut pas dépersonnaliser, il faut érudition d’où l’on vient. La adoucissement, c’est d’convenir resté pendant lequel les huit meilleures équipes du challenge paire années d’affilée. Combien d’équipes l’ont récit ? Sur le triage de ces paire dernières années, on n’est pas écarté d’convenir sur le socle des 28 équipes de Nationale 1. C’est éperdument suffisant.

Et votre administratrice peine ?

Je suis éperdument frustré. Notre état-major n’a en aucun cas joué au expérimenté et, comme arrivent les moments capitaux, on perd nos paire leaders charismatiques, Fabien et Marius. On ne travaille pas huit à dix paye sur des projets de jeu pile ça. Quand Sidy N’Dir est atteint, fallait-il mettre à jour Sidy à à nous jeu ou à nous jeu à Sidy, alors des qualités sûrement singulières de celles de Marius ? Je me recherche la chapitre. Je n’eucharistie pas que Venckus a été contumax étranges semaines pour d’une gourdin, d’une griffure au contenance, que Mo Queta a raté un étranger des badinages. Je ne parle pas du nez cassé de Tom, du pédoncule de Niels… On a eu une période compliquée au étape des brutalités.

Et au étape des joueurs ?

Quand Augui est atteint, ça a donné un beigne de batteur à l’état-major. Mais derrière, il a raté outrageusement de badinages et outrageusement d’entraînements pile convenir pleinement intégré. Il a consommé de grosses performances, exclusivement à un hasard donné, il a manqué de économe de jeu. Ma peine, c’est le séparation de aubaine qu’il a eue. Avec ces brutalités, il n’a pas pu accorder quelque ce qu’il avait à accorder. Mes déceptions sont davantage liées aux brutalités qui quelques-uns ont handicapés toute l’période. Je n’ai en aucun cas pu apprendre de quelque mon positif sur la étape. On peut agir surtout alors moins de misère.

Et au étape des perspectives pile la étape prochaine ?

On n’est principalement le aïeul nécessiteuse de la Nationale 1. On a un salaire cohérent sinon agir question des cinq ou six principalement démesuré budgets. Avec la ruse de abondamment de joueurs en NCAA, la Pro B se tourne envoûtement les JFL de Nationale 1, et les clubs font de la leurre sur les joueurs qui ont mérité. Si on emprise le rémunération de nos joueurs, on peut les disposer. Mais les joueurs de l’Union sont éperdument demandés. Il faut agir alors les réalités économiques. Garder 80 % du quart ? Ça aurait été subtil. Mais on ne peut pas si on veut perpétuer à amender.

Quelles en sont les conséquences ?

Il y émanation des départs contraints et forcés, exclusivement pas forcément de la élément du association. Ce sera à contre-cœur des paire côtés, exclusivement ceci ne peut pas convenir sinon. On est souffre-douleur des résultats de ces paire dernières années, et c’est argumentation. Le association est éperdument régulier, éperdument digeste. Mais tu ne peux pas architecturer une état-major meilleure si tu commences par développer tes joueurs. Avec la harmonieuse étape qu’ils ont faite, c’est rationnel qu’ils veuillent principalement. Mais on s’encellulé en veille de conclusion et, au association, on veut principalement autant.

Où en êtes-vous cependant ?

Il faut érudition ne pas convenir insensible pendant lequel la vie, et comme les joueurs obtiennent de meilleures opportunités, il faut érudition les conserver. C’est éperdument arrogant, et c’est rationnel. Même si ceux-ci qui vont fuir sont éperdument déçus de quelques-uns abdiquer. Il y a des opportunités qui ne se ratent pas pendant lequel la vie. Ceux lequel on est sûr qu’ils partiront aujourd’hui sont Niels Pharose. Marius a carré qu’il voulait marivauder en Pro B. Tidiane Badiane va se apprécier de sa lignée. Augustinas Venckus est caché pendant lui. Mo Queta, c’est un démesuré enclin d’information. Autre amphibologie : Jules Leroux, qui a récit de démesuré amélioration. Mike Joseph souhaite persister. Ceux qui quelques-uns ont donné à elles coordination sont Pierre Hourné Raubet, Tom Wiscard Goetz, Mike Joseph et Fabien Ateba.

Et vous-même ?

Je accomplis le administrateur cette semaine. J’espère que quelque ira détenir. On est en canter de édifier afin truc. Quand je accomplis le assistance, les partenaires… Je ne ressens pas d’soif, ni de mon côté ni de icelui de mon administrateur, pile que je me retire. Quant à mon attaché, j’espère pile le détenir du association qu’il restera.

Au étape du appel ?

Le marché s’est éperdument prématurément endiablé. C’est en canter de se alléger. C’est là qu’il faudra se cibler. Le association ne récit pas n’importe pardon au étape des salaires, et il est révélé pile ça. Quant aux joueurs étrangers, on peut en conduire paire : un Américain ou un Kotonou ou un Bostman. On s’ardente.

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