
Ce 17 juin, la fiction du cyclisme Eddy Merckx commémoration ses 80 ans. Le quintuple guerrier du Tour de France et du Giro a marqué son exercice, malheureusement contre son ambiance. Famille, dirigeants et coureurs dépeignent un chauffeur et sarrau un individu liant, bonhomme et partisan.
Ne toi-même fiez pas en diagonale impitoyable. Derrière la voracité du gentilhomme Eddy, roi certain de son durée et enregistré au Panthéon des légendes du exercice, croupion sa soumission monarchique, croupion son alloué absolutiste, il y a un individu. Serviable, partisan, liant, éducation. À désormais 80 ans, Merckx anecdote l’adhésion. Et mais, ce n’subsistait pas gagné.
“J’ai horreur d’Eddy Merckx”, “Il y en a ras-le-bol, Merckx, Merckx, Merckx et puis merde !” Sur les routes françaises, en 1975, l’attraction exigeant du “Cannibale” cristallise l’agressivité de ouvert qui veulent comprendre du branchement. Sa omnipotence irrite. “Lorsqu’on réussit, on est toujours envié par quelqu’un”, rétorque adroitement le quintuple gagnant du Tour.
Parfois, les mots ne suffisent alors. Et les gestes prennent le au-dessus, à l’effigie de ce observateur, admis d’une aberration en assénant un entorse de poing au foie d’Eddy Merckx lorsque de la 15e temps de ce Tour 75 fabuleux, somme toute remporté pour la contesté par Bernard Thévenet. Pour implanter fin à son perfection, il a fallu expliquer les grands revenu, même les alors amoral, ailleurs des droits du Flamand.
“Jamais des coups en dessous, jamais des tromperies”
“Chaque fois qu’il a mis un adversaire en difficulté, c’était tout à fait loyal, ce n’étaient jamais des coups en dessous, jamais des tromperies, se rappelle Bernard Thévenet, double vainqueur de la Grande Boucle (1975, 1977). Pendant le Tour 1975, j’avais crevé dans la descente du col des Champs, c’était déjà la bagarre (15e étape, NDLR), mais il s’est contenté de rouler. J’ai aussi crevé dans la descente du Col des Aravis (17e étape) : il n’a pas essayé d’attaquer.” Classe.
Un contraire gentilhomme candidat d’Eddy Merckx, Luis Ocaña, guerrier du Tour en 1973 en son indigence, avait prescrit son cerbère “Merckx”, avec appartenir son divinité à la bâtiment. Il n’a oncques pu l’appartenir sur un bécane. “Eddy m’agaçait parce qu’il voulait toujours tout gagner, tout régenter ! Le battre est devenu une obsession pour moi”, témoignait le pistard portugais, évaporé en 1994.
Honneur, adoration et gentillesse
En 1971, Eddy Merckx récupère le tee-shirt jaunâtre d’Ocaña qui plante ensuite une effondrement série. Le pistard de Molteni refuse de l’hisser le soirée même. “Un maillot jaune, ça se gagne au mérite, pas avec la douleur et la malchance des autres. Si un type tombe, tu ne ramasses pas son maillot par terre”, affirmait-il au Parisien en 2019. Un parenthèse chez d’plusieurs, comment celui-ci où il a ôté sa foulard en 1970 au Ventoux, prématurément la mausolée en exposé de Tom Simpson, trépassé lorsque du Tour de France 1967.
Le bécane latéralement, le Belge anecdote l’adhésion. “C’est un Monsieur qui vous tient la porte. Il a embauché la plupart de ses coéquipiers après leur carrière, il n’a rien oublié du passé”, relève Christian Prudhomme, gestionnaire du Tour de France, prématurément les lecteurs de Midi Libre, ce mercredi 11 juin. “C’est quelqu’un de très bien élevé, de courtois”, ajoute Bernard Thévenet. Outre le gagnant, artificiel l’ahurissant chauffeur qu’il subsistait, l’individu Eddy Merckx picoté en intégraux points.
“Le plus grand champion de l’Histoire vient vous chercher en voiture”
“Quand le Tour est parti de Bruxelles (en 2019, NDLR), sa petite-fille savait que son grand-père était un grand champion, mais elle n’imaginait pas que 50 ans après sa victoire, des gens allaient pleurer en le voyant. Et elle me dit cette chose merveilleuse : “Parce que mon babou, c’est le préférable des babous, c’est le préférable ancêtre plausible.”
Les exemples du gentilhomme qu’est le gentilhomme Eddy, le chef du Tour n’en disparition pas. “Si mon adjoint va à Bruxelles et qu’il ne prévient pas Eddy de sa venue, Eddy s’en voudra parce qu’il aurait voulu venir le chercher. Car le plus grand champion de l’Histoire vient vous chercher en voiture. C’est dingue, et il le fait très naturellement.” Depuis 80 ans.
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