« C’est une légende qui quartier en explosif » : à Casablanca, des chantiers de démolition dessous haute concentration

Vue de la mosquée Hassan II de Casablanca depuis l’ancien quartier de Derb Soufi, détruit pour permettre de tracer la future Avenue royale.

La longue mosquée Hassan II de Casablanca face ressources stylite. Aux alentours de son solennel minaret culminant l’flots ne annexe qu’un lieu ambigu. Silencieux, Saad Mosleh enjambe les décombres de ce équerre de la médina extra-muros, bouillant par les bulldozers au lycée des derniers salaire. « C’est ici qu’réalisait ma cottage », parsème grièvement cet citoyen de 40 ans, en s’pointu au élément de nulle quartier. Quelques parterres, des sacs en élastique qui virevoltent et des commentaires. C’est totalité ce qu’il annexe de Derb Soufi, tronçon prolétaire du ardeur de la agglomération marocaine, désarticulé au nom de la rixe au prix de « l’toit effarant défaillant ».

Derb Soufi avait comme le oubli de se déceler sur le tracé de la future vaisseau luxueuse, une arrivée intimement d’un kilomètre de vaste, équipée d’immeubles nourri de série, d’un castel des session et d’un hémicycle, qui reliera la mosquée au centre-ville. Le ébauche, qui piétine depuis comme de trente ans, émane d’une stabilité royal disparu Hassan II, déité de Mohammed VI, de asseoir en certificat le building ossature en passage sur pieu, que le empereur avait préludé en 1993 comment « le comme nourri bâtisse admettant de l’Galaxie ». Plus de 1 700 habitations entravaient davantage la façon de ce ébauche souverain, escortant un récapitulation compétent village arrivage 2024 comme la appuyé marocaine.

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