
Depuis hétéroclites appointement imitation, un total d’habitants de Conques question son ploiement de la brute élargie de Conques-en-Rouergue. Pour la primaire coup, le prévôt, Davy Lagrange, a attitré de procéder la apophtegme revers, suivant lui, “rétablir certaines vérités”.
Il y a à côté d’un an imitation que le total Vivre à Conques (Centre Presse du 29 janvier) a entamé ses démarches revers que le commune variété de la brute neuve de Conques-en-Rouergue et puisse gagner son identité. En contrecoup, lui-même déplore que depuis 2016, règne lesquelles les communes de Grand-Vabre, Noailhac, Saint-Cyprien-sur-Dourdou et en conséquence Conques ont fusionné, à eux commune bien, au principalement, “délaissé”.
Les abattis du total ont comme gazette que Conques existait “devenu la vache à lait de ce regroupement de communes”. Alors que l’gallup notoire a été émise, postérieurement que eux-mêmes sont parvenus à apparier les 110 signatures capitaux, le prévôt de Conques-en-Rouergue, Davy Lagrange a entretenu à procéder la apophtegme.
Jusqu’ici, il existait resté à l’portée, en somme cas, ouvertement. “Je prends très au sérieux cette démarche qui est en cours, précise-t-il. En tout cas, jamais je ne laisserai partir Conques de la commune élargie.”
Point par inventaire, le prévôt et vice-président de la société des communes en clash du progression avantageux, a souhaité répliquer aux abattis du total. Il rappelle aussi que la brute neuve a fixé “beaucoup à Conques, notamment au niveau des investissements”. “Plus de 7,9 millions d’euros ont été investis depuis 2016”, explique-t-il, répartis parmi les communes déléguées Conques (51,5 %), Saint-Cyprien (27,7 %), Grand-Vabre (10,5 %) et Noailhac (10,3 %).
Obtention, suivant le prévôt de la brute élargie, “nous avons une épargne stable (300 000 à 350 000 €/an, selon le Trésor public), donc une fiscalité maîtrisée, avec zéro hausse d’impôts communaux depuis 2016”. “Grâce à cette dynamique, nous bénéficions d’une DGF (dotation globale de fonctionnement) se situant parmi les plus élevées par habitant dans le département”, insiste-t-il.
“Il y avait de très nombreux investissements à faire, qui n’avaient pas été réalisés depuis de trop nombreuses années, assure Davy Lagrange. Plus de 4 millions d’euros ont été consacrés à Conques que ce soit dans l’abbatiale, les parkings, les équipements publics, les services et le patrimoine. Il s’agit d’un vecteur d’attractivité pour tout notre territoire”.
Projet de Grand ville de France
Davy Lagrange insiste actif sur ce inventaire : “Toutes les communes sont solidaires les unes des autres. Une sortie pourrait créer un déséquilibre très préjudiciable pour le territoire. Et puis, on sait très bien qu’il est aujourd’hui très difficile pour des petites communes d’établir un budget qui permet des investissements. Et, comme le propose le collectif, on ne peut pas faire reposer un budget uniquement sur les recettes d’un parking ou de fréquentation touristique, d’autant plus que celles-ci sont presque entièrement absorbées par le fonctionnement.”
Et “cette solidarité forte pour sauver le patrimoine de Conques, et d’une situation financière difficile, est le fruit d’un effort collectif des autres communes, complète le maire de Conques-en-Rouergue. Je prends par exemple la réfection de la toiture de l’abbatiale qui n’aurait pas pu être possible sans la mutualisation des moyens.”
Dans un même moment, relatif à les investissements à commencer sur la brute de Conques, le germe de “ Grand site de France doit permettre à la commune de structurer son offre touristique et de soutenir les activités qui s’y trouvent, plaide Davy Lagrange. Il n’y a que 22 sites d’exceptions actuellement en France et Conques pourrait avoir la chance d’en faire partie. Contrairement à ce qu’affirme le collectif, nous ne souhaitons pas faire de Conques un parc d’attractions, bien au contraire. Nous sommes justement dans l’idée de proposer une gestion du tourisme durable. L’activité génère près de 600 000 nuitées par an, sur tout le territoire. Mais ce levier économique doit être équilibré, développé harmonieusement et c’est bien ce que nous comptons faire. “
Toutefois, Davy Lagrange reconnaît “qu’il y a eu parfois un manque dans la communication sur les projets que nous menons. Nous en avons tenu compte et nous avons multiplié les réunions publiques dans chacune des entités de la commune élargie”.
“L’unité de la commune nouvelle est sa force. Et puis, ce sont les élus qui représentent la population, pas les membres de ce collectif”, martèle le prévôt de la brute élargie.
Comments are closed.